Depression quand tu nous tiens..
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Depression quand tu nous tiens..
Voila je tenais juste à partager ma vie avec vous... ( que je suis en train de rater d'ailleurs ).
Je sais plus quoi faire depuis 2ans pratiquement je suis une vraie merde , un vrai zombie...
Plus envie de voir mes amis ( que je perds au fur a mesure ) , plus envie de sortir , la foule me gene , plus motivé a reussir quoi que ce soit...
J'en suis au moins ou je redouble une section assez simple quand meme... ( AES )
Bref des conseils , des idées ?
merci
PS: vous allez vous levez... bah moi je vais me coucher... et oui..
Je sais plus quoi faire depuis 2ans pratiquement je suis une vraie merde , un vrai zombie...
Plus envie de voir mes amis ( que je perds au fur a mesure ) , plus envie de sortir , la foule me gene , plus motivé a reussir quoi que ce soit...
J'en suis au moins ou je redouble une section assez simple quand meme... ( AES )
Bref des conseils , des idées ?
merci
PS: vous allez vous levez... bah moi je vais me coucher... et oui..
Dernière édition par StinG3R le Sam 20 Nov 2010 - 18:02, édité 3 fois
StinG3R- La BU me connait bien
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Re: Depression quand tu nous tiens..
Ne pas avoir envie de voir les gens ça nous arrive tous assez régulièrement. Le plus difficile c'est de se dire "allez j'y vais quand même". Après, on se laisse porter et si la soirée est bonne, on pense à autre chose, pour un petit moment. Si la soirée a été mauvaise, ça fait toujours un sujet à raconter pour se moquer, et ça défoule.
Pour la foule, c'est compréhensible et, heureusement, on peut se passer des périodes de rush. Prendre le bus à 6h30 au lieu de 8h c'est tellement mieux.
Pour les études, ne te préoccupes pas de l'avis des autres. Ne pas avoir son année, c'est gênant financièrement et ça en met un coup derrière la nuque mais à part ça, à part des railleries de certains qui, dans 5 ans, se plaindront peut-être du fait d'être dans la vie active, à regretter leur job à garder jusqu'à 60 ans, ça vaut bien de ne pas les écouter. A ce titre, tu n'as de compte à rendre à personne : comme tu le dis, tu l'as au fur et à mesure et ce n'est qu'un moment à passer avant autre chose, si tu as une idée précise en tête peu importe la gêne, tu sais que plus tard tu feras ce que tu voudras et que c'est le cas de peu de gens. Je parle en connaissance de cause.
Quelques pistes pour te ressourcer, trouver des points d'accroche qui vident l'esprit, au moins pour un moment.
- Le sport, même quand on pratique peu, ça donne l'occasion d'exprimer ses frustrations, sa rage, ou de retrouver le contrôle de soi. Après ça, tu te sens usé, fatigué (une bonne fatigue), mais la fatigue nerveuse s'en va pour quelques heures, tout s'est exprimé par tes muscles. Se sentir en pleine possession de son corps, et en prendre conscience, c'est quelque chose de vraiment agréable qu'on fait trop peu dans une journée banale.
- Le travail, bénévole ou salarié, mais un travail qui te botte. On peut se trouver des vocations par hasard, dans l'associatif (ça peut apporter énormément de choses, du taf, de la culture, un diplôme par validation, un réseau pro, de l'occupation, des rencontres et j'en passe) ou dans un job pépère pour commencer, avec peu d'heures pour tester. On nous fait croire que ça n'existe plus, mais franchement il y en a partout.
- Les sorties, mais il faut être dans le bon état d'esprit pour ça. Tu te sens d'un coup motivé pour découvrir un groupe, une troupe de théâtre ? Fonce direct, 10 minutes après on peut perdre cette motivation par la flême. Et on risque de regretter.
- Se donner des objectifs par jour, pour éviter le "je ferai demain". En gardant un rythme que tu te choisis (peu importe l'heure du lever, peu importe si le ménage passe en dernier, tu n'as de compte à rendre à personne) tu t'imposes une pression régulière mais légère, pour éviter les épées de Damoclès qui, elles, font super mal au moral.
Au plaisir de prendre un café avec toi quand tu veux si le coeur t'en dis
Pour la foule, c'est compréhensible et, heureusement, on peut se passer des périodes de rush. Prendre le bus à 6h30 au lieu de 8h c'est tellement mieux.
Pour les études, ne te préoccupes pas de l'avis des autres. Ne pas avoir son année, c'est gênant financièrement et ça en met un coup derrière la nuque mais à part ça, à part des railleries de certains qui, dans 5 ans, se plaindront peut-être du fait d'être dans la vie active, à regretter leur job à garder jusqu'à 60 ans, ça vaut bien de ne pas les écouter. A ce titre, tu n'as de compte à rendre à personne : comme tu le dis, tu l'as au fur et à mesure et ce n'est qu'un moment à passer avant autre chose, si tu as une idée précise en tête peu importe la gêne, tu sais que plus tard tu feras ce que tu voudras et que c'est le cas de peu de gens. Je parle en connaissance de cause.
Quelques pistes pour te ressourcer, trouver des points d'accroche qui vident l'esprit, au moins pour un moment.
- Le sport, même quand on pratique peu, ça donne l'occasion d'exprimer ses frustrations, sa rage, ou de retrouver le contrôle de soi. Après ça, tu te sens usé, fatigué (une bonne fatigue), mais la fatigue nerveuse s'en va pour quelques heures, tout s'est exprimé par tes muscles. Se sentir en pleine possession de son corps, et en prendre conscience, c'est quelque chose de vraiment agréable qu'on fait trop peu dans une journée banale.
- Le travail, bénévole ou salarié, mais un travail qui te botte. On peut se trouver des vocations par hasard, dans l'associatif (ça peut apporter énormément de choses, du taf, de la culture, un diplôme par validation, un réseau pro, de l'occupation, des rencontres et j'en passe) ou dans un job pépère pour commencer, avec peu d'heures pour tester. On nous fait croire que ça n'existe plus, mais franchement il y en a partout.
- Les sorties, mais il faut être dans le bon état d'esprit pour ça. Tu te sens d'un coup motivé pour découvrir un groupe, une troupe de théâtre ? Fonce direct, 10 minutes après on peut perdre cette motivation par la flême. Et on risque de regretter.
- Se donner des objectifs par jour, pour éviter le "je ferai demain". En gardant un rythme que tu te choisis (peu importe l'heure du lever, peu importe si le ménage passe en dernier, tu n'as de compte à rendre à personne) tu t'imposes une pression régulière mais légère, pour éviter les épées de Damoclès qui, elles, font super mal au moral.
Au plaisir de prendre un café avec toi quand tu veux si le coeur t'en dis
Re: Depression quand tu nous tiens..
Sortir, rencontrer de nouvelles personnes etc ... se forcer à découvrir d'autres choses et surtout à sortir Combien de soirée géniale et de rencontre extraordinaire j'aurai louper à cause d'une baisse de morale qui m'aurait laissé enfermé chez moi pendant que les autres s'amuse ? Et bien, pleins ...
Le meilleur moyen d'être heureux, par moment c'est de partagé, de partager sa passion, des bons moments etc ... personne ne peut réellement être heureux seul ... alors, fonce voir tes amis.
Ensuite, il ne faut jamais rien faire dans la vie par rapport au autres, ne pas chercher de reconnaissance ou quoi que ce soit d'autres mais travailler pour soit et avant tout être heureux de ce que l'on fait. C'est l'un des meilleurs conseils que le photographe Kamel Lahmadi, m'a donné.
Et comme l'a dit Maiky, si t'as envie de découvrir une troupe de théâtre, un nouveau groupe, un musée ou un petit bar sympa ... fonce !!!!!
Ah et sache que l'on ne rate jamais sa vie, il y a seulement des baisses de régimes. Et puis, t'es jeune (moins que moi mais quand même. LOL), alors, tu auras bien le temps de te rattrapper.
Le meilleur moyen d'être heureux, par moment c'est de partagé, de partager sa passion, des bons moments etc ... personne ne peut réellement être heureux seul ... alors, fonce voir tes amis.
Ensuite, il ne faut jamais rien faire dans la vie par rapport au autres, ne pas chercher de reconnaissance ou quoi que ce soit d'autres mais travailler pour soit et avant tout être heureux de ce que l'on fait. C'est l'un des meilleurs conseils que le photographe Kamel Lahmadi, m'a donné.
Et comme l'a dit Maiky, si t'as envie de découvrir une troupe de théâtre, un nouveau groupe, un musée ou un petit bar sympa ... fonce !!!!!
Ah et sache que l'on ne rate jamais sa vie, il y a seulement des baisses de régimes. Et puis, t'es jeune (moins que moi mais quand même. LOL), alors, tu auras bien le temps de te rattrapper.
Invité- Invité
Re: Depression quand tu nous tiens..
Après 10ans de dépression (vivi) je peux te garantir, on s'en sort. je me joins aux autres pour te soutenir, sors de chez toi, bosse avec d'autres s'il le faut.
C'est pas évident, mais dès que t'as pris le pli, t'es en bonne route.
Je vais pas répéter ce qui est au dessus, je suis parfaitement d'accord avec eux.
C'est pas évident, mais dès que t'as pris le pli, t'es en bonne route.
Je vais pas répéter ce qui est au dessus, je suis parfaitement d'accord avec eux.
Re: Depression quand tu nous tiens..
Au pire si tu t'en sors pas, je fournis tabouret + corde
FatNoZ- La BU me connait bien
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Re: Depression quand tu nous tiens..
moi j'estime que qd on ne va pas bien, il faut savoir demander de l'aide. tu l'as fait en écrivant ici. mon avis perso rejoindra celui de maiky, mais en + j'ajouterai que tu as le droit de profiter de l'occasion que les étudiants ne saisissent peut être pas assez: il y a des psy à la maison de l'université, c'est gratuit pour les étudiants et ça ne peut qu'être bénéfique. les psy c'est pas pour les fous, c'est pour ceux qui ne vont pas bien. alors prends ton teléphone et passe un coup de fil pour prendre rendez vous, en + c'est assez rapide. bon courage !!
Invité- Invité
Re: Depression quand tu nous tiens..
Merci à vous tous et aussi au petit rigolo.
Le suicide , j'en aurai jamais le courage de toute façon ^^
Sinon pour ce qui est du psy , moi j'en ai vu un , et disons que je trouve que ça plombe encore plus le moral.Mais c'etait un psy d'office apres l'accident ( ci-dessous )
Par contre certains ici sont deja au courant . Mais ma depression n'est pas arrivé par hasard , j'ai perdu ma fiancée dans un accident de voitures et depuis j'ai l'impression que tout s'ecroule.Pourtant cela va bien faire 2ans. C'est comme si que depuis cet accident , toutes les poisses m'arrivent :
-Je retape
-Je dois repassé mon permis
-Des amis disparaissent du fait de mon insociabilité
-Des problemes de thunes
-Des decalages perpetuels , la je dors pas encore par exemple..
Le suicide , j'en aurai jamais le courage de toute façon ^^
Sinon pour ce qui est du psy , moi j'en ai vu un , et disons que je trouve que ça plombe encore plus le moral.Mais c'etait un psy d'office apres l'accident ( ci-dessous )
Par contre certains ici sont deja au courant . Mais ma depression n'est pas arrivé par hasard , j'ai perdu ma fiancée dans un accident de voitures et depuis j'ai l'impression que tout s'ecroule.Pourtant cela va bien faire 2ans. C'est comme si que depuis cet accident , toutes les poisses m'arrivent :
-Je retape
-Je dois repassé mon permis
-Des amis disparaissent du fait de mon insociabilité
-Des problemes de thunes
-Des decalages perpetuels , la je dors pas encore par exemple..
StinG3R- La BU me connait bien
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Re: Depression quand tu nous tiens..
ouep, c'est vraiment dur ce genre de situation et ce type de drame ...
mais en ce qui concerne les psys, je dirais que c'est normal qu'au début ce soit pire, mais il faut en passer par là pour vraiment guérir de ses blessures :-/
mais en ce qui concerne les psys, je dirais que c'est normal qu'au début ce soit pire, mais il faut en passer par là pour vraiment guérir de ses blessures :-/
Invité- Invité
Re: Depression quand tu nous tiens..
Pour l'accident, sans avoir vécu ça, j'ai eu aussi un coup dur y'a quatre ans et j'ai mis le temps.
Le psy et les très très rares amis m'ont donné une force considérable alors que j'avais tout perdu : compagnon, logement, argent, études, famille et amis.
Là tu en parles, c'est une bonne chose.
Retourne voir un psy, ça fait mal, mais c'est une douleur nécessaire, comme dans le shiatsu. Après, pour les amis, ça va, ça vient ; quand j'avais plus personne, je me suis accrochée à une main tendue par un prof et franchement, je regrette pas de lui avoir parlé, car j'ai appris beaucoup de lui. Ca a pris le temps, et quand j'y repense, ce fut une véritable renaissance.
Ne perd pas espoir, suis les conseils qui te sont donnés et je pense que ça ira. "Aide toi et le ciel t'aidera", mais on s'imagine pas à quel point c'est vrai ^^"
Le psy et les très très rares amis m'ont donné une force considérable alors que j'avais tout perdu : compagnon, logement, argent, études, famille et amis.
Là tu en parles, c'est une bonne chose.
Retourne voir un psy, ça fait mal, mais c'est une douleur nécessaire, comme dans le shiatsu. Après, pour les amis, ça va, ça vient ; quand j'avais plus personne, je me suis accrochée à une main tendue par un prof et franchement, je regrette pas de lui avoir parlé, car j'ai appris beaucoup de lui. Ca a pris le temps, et quand j'y repense, ce fut une véritable renaissance.
Ne perd pas espoir, suis les conseils qui te sont donnés et je pense que ça ira. "Aide toi et le ciel t'aidera", mais on s'imagine pas à quel point c'est vrai ^^"
Re: Depression quand tu nous tiens..
Un psy ne fera que te dire des évidences que tu sais déjà mais parfois ça peut aider de se faire dire ce genre de chose par quelqu'un d'extérieur. Bon après si t'es comme moi à tout envoyer chier, c'est sûr que son utilité est proche du néant.
Tout dépend de toi, psy ou non, il n'y aura pas de miracle si tu ne te prends pas en main et que tu ne réagis pas, rien ne changera. Recentre toi sur les choses importantes, la famille et les amis restants, évite tout ce qui t'ammène à t'isoler (jeux en ligne et autres conneries) et trouve toi une activité violente pour te lâcher (squash, boxe).
T'es à un stade ou si tu n'arrives pas à te foutre des coups de pompe au cul, tu continueras à sombrer. Là faut que tu te forces, même si c'est dur. Les gens peuvent t'aider mais pour ça faut pas que tu abandonnes car sinon ça va être mission impossible.
Après pour mon expliquer mon cynisme:
- J'ai un peu du mal avec la depression, les déprimés... etc
- Je ne connaissais pas ton historique.
Tout dépend de toi, psy ou non, il n'y aura pas de miracle si tu ne te prends pas en main et que tu ne réagis pas, rien ne changera. Recentre toi sur les choses importantes, la famille et les amis restants, évite tout ce qui t'ammène à t'isoler (jeux en ligne et autres conneries) et trouve toi une activité violente pour te lâcher (squash, boxe).
T'es à un stade ou si tu n'arrives pas à te foutre des coups de pompe au cul, tu continueras à sombrer. Là faut que tu te forces, même si c'est dur. Les gens peuvent t'aider mais pour ça faut pas que tu abandonnes car sinon ça va être mission impossible.
Après pour mon expliquer mon cynisme:
- J'ai un peu du mal avec la depression, les déprimés... etc
- Je ne connaissais pas ton historique.
FatNoZ- La BU me connait bien
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Re: Depression quand tu nous tiens..
Tout dépend de toi, psy ou non, il n'y aura pas de miracle si tu ne te prends pas en main et que tu ne réagis pas, rien ne changera. Recentre toi sur les choses importantes, la famille et les amis restants, évite tout ce qui t'ammène à t'isoler (jeux en ligne et autres conneries) et trouve toi une activité violente pour te lâcher (squash, boxe).
T'es à un stade ou si tu n'arrives pas à te foutre des coups de pompe au cul, tu continueras à sombrer. Là faut que tu te forces, même si c'est dur. Les gens peuvent t'aider mais pour ça faut pas que tu abandonnes car sinon ça va être mission impossible.
PLUSSUN !
N'abandonne jamais, jamais, jamais !
Si tu fais des efforts pour t'en sortir et te bouger, il y aura encore des coups durs, mais tu pourras les affronter parce que c'est une boucle sans fin : les gens reviennent/viennent vers toi, tu te sens soutenu, donc tu vas mieux, donc....
Re: Depression quand tu nous tiens..
Et inversement, souvent les galères viennent toutes en même temps. Ou bien, comme on est affaibli moralement, on a tendance à surtout voir le négatif, ce qui nous fait aller mal.
Re: Depression quand tu nous tiens..
Oui, sauf quand t'en a pris plein la gueule toute ta vie et que tu fini quand même, comme les papillons, à aller vers la lumière qui brille dans la nuit....
Re: Depression quand tu nous tiens..
Hier j'ai eu un ptit coup de blues, et si je peux me permettre j'ai un petit remède perso que je voudrais partager avec vous... Après, c'est juste une question de croyance pour ma part, mais le texte devrait vous suffire (I hope so) :
Peace.
- Spoiler:
Peace.
Invité- Invité
Re: Depression quand tu nous tiens..
Branwen a écrit:Oui, sauf quand t'en a pris plein la gueule toute ta vie et que tu fini quand même, comme les papillons, à aller vers la lumière qui brille dans la nuit....
oh c'est joli ce que tu dis là
Linkalex- Moi je vais en cours... si si
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Re: Depression quand tu nous tiens..
Et bien vrai
Et comme tu vas vers la lumière, on voit les couleurs de tes ailes et y'a toujours quelqu'un pour mettre un filet a papillons et te garder avec lui... ^^ Ne serait-ce que pour te préserver ^^
Re: Depression quand tu nous tiens..
ça va Sting3r ? J'ai vu que tu avais édité ton message récemment et, comme je pointais mon nez dans ce topic, je le fais remonter.
Le topic des dépressifs
Nouveau topic pour moi. Celui-ci va servir à parler de vos malheurs, de tout ce qui vous énerve ou vous dégoûte.
Re: Depression quand tu nous tiens..
Dépressif est un terme fort, je crois pathologique. Donc si tu y voies un topic pour les personnes vraiment malades et chroniquement sous anti-dépresseur, c'est bien un nouveau sujet par contre
Hérøn- La BU me connait bien
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Campus :- Pasteur,
Année : L1
Inscription : 26/10/2011
Re: Depression quand tu nous tiens..
Plutôt déprimer que d'être sous cachetons!
Svaad- Choupinou
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Localisation : Et ça te gêne vraiment pas pour marcher?
Campus :- Mont-Saint-Aignan,
Sonanbul, C.A.R.M.E.N
Inscription : 08/09/2011
Re: Depression quand tu nous tiens..
J'ai déplacé le topic vers le meilleur endroit pour en parler Budwel
Les cachetons, j'ai toujours dit que j'en prendrais jamais... raté. Mon traitement est terminé, le sevrage est pas évident mais rien à voir avec la cause du traitement, donc je ne m'en plains pas. J'espère ne pas avoir à en reprendre, mais pour le coup j'ai le sentiment qu'ils m'ont été utiles (surtout vu les tuiles qui me sont arrivées pendant, passées comme une lettre à la poste) et m'ont permis de reprendre un bon rythme. Je n'en ferai toutefois pas l'apologie, juste que pour mon cas c'était un choix à faire et qu'il n'a pas été le plus mauvais (genre attendre encore).
Les cachetons, j'ai toujours dit que j'en prendrais jamais... raté. Mon traitement est terminé, le sevrage est pas évident mais rien à voir avec la cause du traitement, donc je ne m'en plains pas. J'espère ne pas avoir à en reprendre, mais pour le coup j'ai le sentiment qu'ils m'ont été utiles (surtout vu les tuiles qui me sont arrivées pendant, passées comme une lettre à la poste) et m'ont permis de reprendre un bon rythme. Je n'en ferai toutefois pas l'apologie, juste que pour mon cas c'était un choix à faire et qu'il n'a pas été le plus mauvais (genre attendre encore).
Re: Depression quand tu nous tiens..
L'important c'est de ne jamais perdre de vue que le médicament est une béquille temporaire pour cause de fracture à l'âme.
Re: Depression quand tu nous tiens..
+1 pour Branwen.
Malheureusement parfois, la fracture laisse des faiblesses, et quand ça casse à nouveau, ça fait mal...
Et pis moi les médocs m'ont fait prendre 15 kilos à peu près en 1 an... Heureusement, j'y suis aujourd'hui habituée donc je ne subis plus le côté "vaseux".
Perso, j'ai lâché tous les traitements très récemment, du jour au lendemain. Mais j'avoue que sans eux, je ne suis pas certaine que je serais encore en vie aujourd'hui.
N'arrêtez jamais aussi brutalement !
Le corps n'est plus habitué à subir ses propres mouvements d'humeur, malaises et problèmes d'humeur inévitables.
J'opte pour le psy (-chiatre, car le psychologue n'a jamais rien pu faire) histoire de tout remettre à plat, purger la bile noire, et enfin, un jour, aller mieux
Malheureusement parfois, la fracture laisse des faiblesses, et quand ça casse à nouveau, ça fait mal...
Et pis moi les médocs m'ont fait prendre 15 kilos à peu près en 1 an... Heureusement, j'y suis aujourd'hui habituée donc je ne subis plus le côté "vaseux".
Perso, j'ai lâché tous les traitements très récemment, du jour au lendemain. Mais j'avoue que sans eux, je ne suis pas certaine que je serais encore en vie aujourd'hui.
N'arrêtez jamais aussi brutalement !
Le corps n'est plus habitué à subir ses propres mouvements d'humeur, malaises et problèmes d'humeur inévitables.
J'opte pour le psy (-chiatre, car le psychologue n'a jamais rien pu faire) histoire de tout remettre à plat, purger la bile noire, et enfin, un jour, aller mieux
Cha'- Queen of Kittens
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Localisation : Pays du fromage.
Campus :- ...
Emploi : Prof.
Fac-Here
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Re: Depression quand tu nous tiens..
Oui, bah quand on a déprimé une fois, on peut recommencer souvent si on fait pas un vrai travail psy sur soi.
Psychologue ou psychiatre, selon ce dont on a besoin aussi, mais c'est indispensable pour se sentir bien dans ses baskets à long terme
Et oui, il ne faut jamais arrêter brutalement, le risque de replonger est très grand...
Psychologue ou psychiatre, selon ce dont on a besoin aussi, mais c'est indispensable pour se sentir bien dans ses baskets à long terme
Et oui, il ne faut jamais arrêter brutalement, le risque de replonger est très grand...
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