les étudiants et l'alcool
+22
Isma
loic
FatNoZ
ofeelit
tazoune
Gwilh
D4rtagnan
goku
Greg
schoe
Théo
nico.sav
llalahe
AngelNight
Yadynn
plassben
ProdigiousJay
Twigg
Maïky
Sillage
Hehe
Dr Meyrignac
26 participants
Page 2 sur 7
Page 2 sur 7 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Re: les étudiants et l'alcool
L'alcoolique est celui qui entretient une relation pathologique avec l'alcool. Il en est dépendant psychiquement et/ou physiquement. Un consommateur d'alcool sur dix deviendra alcoolique. Un ivrogne n'a pas, à ma connaissance, de définition médicale. Disons que c'est un personnage.
Il faut peu de verres pour entrainer une amnésie. Le comportement du cerveau est modifié dès le premier verre d'alcool.
Encore un chiffre : une fille qui boit dans une soirée multiplie par 4 ses risques de se faire violer. C'est gai j'vous jure !
Je me souviens d'une demoiselle qui avait découvert sa grossesse sans avoir aucun souvenir de la conception ni de l'auteur des faits !
Il faut peu de verres pour entrainer une amnésie. Le comportement du cerveau est modifié dès le premier verre d'alcool.
Encore un chiffre : une fille qui boit dans une soirée multiplie par 4 ses risques de se faire violer. C'est gai j'vous jure !
Je me souviens d'une demoiselle qui avait découvert sa grossesse sans avoir aucun souvenir de la conception ni de l'auteur des faits !
Dr Meyrignac- Personnel de l'université
- Messages : 43
2 2
Inscription : 12/03/2008
Re: les étudiants et l'alcool
Je ne bois jamais, je n'aime pas du tout le goût de l'alcool et j'ai du mal à comprendre ce qu'on lui trouve (certainement parce que je n'ai jamais expérimenté l'ivresse).
J'ai une question sur les alcooliques : pourquoi continuent-ils de boire pour noyer leurs problèmes alors qu'il savent très bien que ce n'est qu'un leurre, que cela ne les soulage que le temps de l'ivresse ?
J'ai une question sur les alcooliques : pourquoi continuent-ils de boire pour noyer leurs problèmes alors qu'il savent très bien que ce n'est qu'un leurre, que cela ne les soulage que le temps de l'ivresse ?
Yadynn- Je connais toute ma promo
- Messages : 262
Age : 39 83 83
Localisation : Saint-Denis Wesh !
Cursus : INSA Chimie
Sonanbul, CinéCampus
Inscription : 14/09/2007
Re: les étudiants et l'alcool
Pour moi idem, je ne bois jamais d'alcool. Toutes les boissons alcoolisé se limitent aux vins champagne, a la limite un petit punch le tout lors des fêtes, mais c'est tout.
De plus, je ne tiens pas à l'alcool...
Mais il y a des fois, lorsque je suis assez déprimé et que je suis à une fête de famille ou autre, j'ai tendance à boire pas mal, car l'alcool me rend un peu euphorique, rigole pour rien etc... mais sans plus...
D'un certain côté ca égaie un peu, ca fait oublier tes soucies...
De plus, je ne tiens pas à l'alcool...
Mais il y a des fois, lorsque je suis assez déprimé et que je suis à une fête de famille ou autre, j'ai tendance à boire pas mal, car l'alcool me rend un peu euphorique, rigole pour rien etc... mais sans plus...
D'un certain côté ca égaie un peu, ca fait oublier tes soucies...
AngelNight- Chargé conseils
- Messages : 2913
Age : 42 2985 363
Localisation : Antony
Cursus : Contrôleur Des finances publiques
Inscription : 25/01/2008
Re: les étudiants et l'alcool
C'est vrai que l'alcool permet des fois d'egayer un peu les repas de famille (ou au contraire verser vers le drame !) Mais si tout le monde a l'alcool joyeux ça permet des fois de passer de bonnes soirées...
Bon soit ya pas besoin d'alcool pour s'amuser heureusement
Bon soit ya pas besoin d'alcool pour s'amuser heureusement
Hehe- Habitué de Fac-here
- Messages : 312
37 10
Inscription : 11/02/2008
Re: les étudiants et l'alcool
Vos commentaires appellent quelques réponses, bien que je ne sois pas un spécialiste.
Pourquoi les alcooliques boivent : pour les mêmes raisons qui poussent les usagers des autres drogues à consommer : l'alcool crée une dépendance. Cette dépendance provoque une angoisse et un mal être d'une profondeur incroyable. L'alcoolique sait, quand il est lucide, que son comportement provoque sa perte, mais il sait surtout que la reprise de sa consommation mettra un terme immédiat à ses angoisses et ses souffrances. Les drogues agissent dans un endroit de notre cerveau qui gère les récompenses. C'est beaucoup plus fort que la volonté.
Pour ce qui est des soirées, je voudrais juste rappeler que 70 % des interventions de la police (de la petite injure au crime le plus crapuleux) ont pour cause une consommation d'alcool.
Pour ce qui est de s'amuser, l'alcool est un puissant désinhibiteur : il est beaucoup plus facile d'aborder la demoiselle de ses rêves avec un petit coup dans le nez. Est ce que l'haleine frelatée va plaire à la belle ??
Pourquoi les alcooliques boivent : pour les mêmes raisons qui poussent les usagers des autres drogues à consommer : l'alcool crée une dépendance. Cette dépendance provoque une angoisse et un mal être d'une profondeur incroyable. L'alcoolique sait, quand il est lucide, que son comportement provoque sa perte, mais il sait surtout que la reprise de sa consommation mettra un terme immédiat à ses angoisses et ses souffrances. Les drogues agissent dans un endroit de notre cerveau qui gère les récompenses. C'est beaucoup plus fort que la volonté.
Pour ce qui est des soirées, je voudrais juste rappeler que 70 % des interventions de la police (de la petite injure au crime le plus crapuleux) ont pour cause une consommation d'alcool.
Pour ce qui est de s'amuser, l'alcool est un puissant désinhibiteur : il est beaucoup plus facile d'aborder la demoiselle de ses rêves avec un petit coup dans le nez. Est ce que l'haleine frelatée va plaire à la belle ??
Dr Meyrignac- Personnel de l'université
- Messages : 43
2 2
Inscription : 12/03/2008
Re: les étudiants et l'alcool
Si la belle a l'haleine frelatée peut etre
Hehe- Habitué de Fac-here
- Messages : 312
37 10
Inscription : 11/02/2008
Re: les étudiants et l'alcool
Je pense pas que la plupart des etudiants qui boivent boivent parce qu'ils ont une dependance, ce serait plutôt la soirée qui veut ça, on est avec des amis il y a de l'alcool, les gens boivent donc on boit avec eux....
C'est vrai que c'est beaucoup plus facile "de tirer son coup" (desolée pour l'expression) quand la fille a un peu trop bu, alala le reveil aux côtés d'un(e) inconnu(e) combien de gens l'ont vecu ? ^^
C'est vrai que c'est beaucoup plus facile "de tirer son coup" (desolée pour l'expression) quand la fille a un peu trop bu, alala le reveil aux côtés d'un(e) inconnu(e) combien de gens l'ont vecu ? ^^
Re: les étudiants et l'alcool
Vingt dieux! Un topic sur l'alcool et les étudiants...quel sujet truculent.
L'alcool est un problème lorsqu'il devient un exutoire à une pathologie (je pense surtout à la dépression), car il se nourrit de lui même. l'alcool fait "oublier" le mal être, qui revient encore plus fort lorsque les effets alcooliques disparaissent, donc on reboit, etc. Un cercle vicieux quoi. Il est rare de voir chez les étudiants une consommation pathologique de l'alcool, car on est encore dans une situation favorable au développement humain, loin d'une envie de destruction qui touche souvent les gens plus agés (perte d'emploi, sensation d'avoir raté sa vie, une belle mère aussi chiante que sa ronbière est laide,etc.)
Mais bon je ne suis pas spécialiste, juste témoin.
Les étudiants, dans leur majorité, picole, faut pas se leurrer, mais c'est plus dans un esprit festif que dans un esprit d'oubli. On boit en soirée, entre amis, rarement seul. Enfin je connais peu d'étudiant qui se mettent des misères tout seul. nAprés il y a le goût de l'alcool, on aime ou pas, mais il est vrai qu'une bonne cote rotie 93 c'est un plaisir pour le palais, surtout avec une côte de boeuf grillée à la cheminé et quelques patates braisées.
Ce qui tient le plus à l'alcoolisme des étudiants, et des jeunes en général, c'est le côté "social" de l'alcool. On boit en groupe, et celui qui boit le plus sans être ivre mort gagne une forme de respect, et c'est à force de boire qu'on tient, et donc on entre dans le désir d'être dans un groupe à travers un de ses moyens de sociabilité: l'alcool. On aurait été au XVIème siècle, ce serait en buvant du chocolat, c'était trés in à l'époque.
Et puis l'alcool, comme dit plus haut, est un désinhibiteur puissant. Que ce soit pour taquiner les donzelles ou s'acoquiner avec quelques vilains garçons, une petite rasade de gin (ou tout autre alcool, mais moi j'aime bien le gin) ça aide bien.
En tout cas, buvez tant que vous le voulez, jusqu'à vomir s'il le faut, tant que cela ne met la vie de personne en jeu et bien...ça vous regarde, et puis c'est toujours drôle un mec (et les filles s'est encore mieux) bourrés dans une soirée.
En espèrant ne pas m'être trop égaré.
In vino veritas, carpe diem populi!!!!!
L'alcool est un problème lorsqu'il devient un exutoire à une pathologie (je pense surtout à la dépression), car il se nourrit de lui même. l'alcool fait "oublier" le mal être, qui revient encore plus fort lorsque les effets alcooliques disparaissent, donc on reboit, etc. Un cercle vicieux quoi. Il est rare de voir chez les étudiants une consommation pathologique de l'alcool, car on est encore dans une situation favorable au développement humain, loin d'une envie de destruction qui touche souvent les gens plus agés (perte d'emploi, sensation d'avoir raté sa vie, une belle mère aussi chiante que sa ronbière est laide,etc.)
Mais bon je ne suis pas spécialiste, juste témoin.
Les étudiants, dans leur majorité, picole, faut pas se leurrer, mais c'est plus dans un esprit festif que dans un esprit d'oubli. On boit en soirée, entre amis, rarement seul. Enfin je connais peu d'étudiant qui se mettent des misères tout seul. nAprés il y a le goût de l'alcool, on aime ou pas, mais il est vrai qu'une bonne cote rotie 93 c'est un plaisir pour le palais, surtout avec une côte de boeuf grillée à la cheminé et quelques patates braisées.
Ce qui tient le plus à l'alcoolisme des étudiants, et des jeunes en général, c'est le côté "social" de l'alcool. On boit en groupe, et celui qui boit le plus sans être ivre mort gagne une forme de respect, et c'est à force de boire qu'on tient, et donc on entre dans le désir d'être dans un groupe à travers un de ses moyens de sociabilité: l'alcool. On aurait été au XVIème siècle, ce serait en buvant du chocolat, c'était trés in à l'époque.
Et puis l'alcool, comme dit plus haut, est un désinhibiteur puissant. Que ce soit pour taquiner les donzelles ou s'acoquiner avec quelques vilains garçons, une petite rasade de gin (ou tout autre alcool, mais moi j'aime bien le gin) ça aide bien.
En tout cas, buvez tant que vous le voulez, jusqu'à vomir s'il le faut, tant que cela ne met la vie de personne en jeu et bien...ça vous regarde, et puis c'est toujours drôle un mec (et les filles s'est encore mieux) bourrés dans une soirée.
En espèrant ne pas m'être trop égaré.
In vino veritas, carpe diem populi!!!!!
llalahe- Premiers cours en amphi
- Messages : 12
Age : 40 12 12
Localisation : Mont Saint Aignan
Cursus : Histoire
Inscription : 23/01/2008
Re: les étudiants et l'alcool
Hachiko a écrit:C'est vrai que c'est beaucoup plus facile "de tirer son coup" (desolée pour l'expression) quand la fille a un peu trop bu, alala le reveil aux côtés d'un(e) inconnu(e) combien de gens l'ont vecu ? ^^
C'est vécu?
Plus sérieusement, j'ai un peu du mal à comprendre comment les gens peuvent boire de l'alcool, j'ai essayé des alcools pas fort du tout, ou bien des alcools supers dilués et il me faut 20min pour boire le verre composé de 90% de jus d'orange ou de jus de pommes avec le reste de vodka...
Les gens me regardent bizarrement quand je dis que je peux passer une soirée entre amis sans picoler et m'amuser quand même...
Re: les étudiants et l'alcool
C'est vrai que c'est beaucoup plus facile "de tirer son coup" (desolée pour l'expression) quand la fille a un peu trop bu, alala le reveil aux côtés d'un(e) inconnu(e) combien de gens l'ont vecu ? ^^
Lol heureusement non ! Je bosi (moderement) en soirée lorsque je suis avec des gens que je connais bien, sinon je en bois pas du tout ^^
Les gens me regardent bizarrement quand je dis que je peux passer une soirée entre amis sans picoler et m'amuser quand même...
Oui c'est vrai que generalement quand on dis ça tu passe presque pour un martien, ou un coincé qui ne sais pas s'amuser.
Avec de sgens qui fument pas mal de cigarette qui fait rire, quand tu dis que tu ne fume pas et même pas la cigarette, tu as l'impression qu'ils pensent : la vache elle a pas beaucoup du sortir dans sa vie !
Enfin, dis toi que eux boivent beaucoup mais finiront peut-être leur vie tôt car ils ont voulu boire pour s'amuser....
Je sais c'est ptet mechant mais bon, je vois pas du tout pourquoi il faudrait absolument boire pour s'amuser, rire...
Les comiques donnent pas d'alcool avant leurs spectacles, et on rit quand même !
Re: les étudiants et l'alcool
D'après nos statistiques, l'alcoolisme chez les étudiants n'est pas si rare que ça. Il est plus fréquent et plus précoce chez les garçons que chez les filles : bravo les filles !
En revanche, elles consomment plus de médicaments. Chacun son truc.
L'alcoolisation festive (modèle étudiant) est un mode d'entrée dans l'alcoolisme.
Question : combien de temps après une bonne cuite peut on conduire (alcoolémie : 2 gr) ?
Même question avec un peu de cannabis (disons chichons par semaine) ??
En revanche, elles consomment plus de médicaments. Chacun son truc.
L'alcoolisation festive (modèle étudiant) est un mode d'entrée dans l'alcoolisme.
Question : combien de temps après une bonne cuite peut on conduire (alcoolémie : 2 gr) ?
Même question avec un peu de cannabis (disons chichons par semaine) ??
Dr Meyrignac- Personnel de l'université
- Messages : 43
2 2
Inscription : 12/03/2008
Re: les étudiants et l'alcool
nico.sav a écrit:il me faut 20min pour boire le verre composé de 90% de jus d'orange ou de jus de pommes avec le reste de vodka...
Ah ! Ne jamais diluer la vodka avec des jus de fruits, il faut la boire en petite quantité et cul sec, puis crier "VODKA" !
Sinon, il est vrai que l'alcool facilite le contact, mais cela n'est-ce pas du à un problème sociologique ? On se met tellement de barrières, on dit que ça ne se fait pas de draguer à tout va, de penser de façon purement primitive et de vouloir sauter tout ce qui bouge, qu'il faut une certaine pudeur, quand on vit en société, on est censé se comporter comme des asexué ! On se déshumanise en quelque sorte, nos instincts primaires sont inondés de tout un tas de principes sociologiques et culturels qui nous empêche de nous épanouir et donc nous complexe et nous renferme sur nous même. L'alcool enlève toute ses barrière crées par l'homme, l'alcool est pour moi ce que je suis réellement et non ce que je deviens en en buvant.
ProdigiousJay- Je mange au RU
- Messages : 88
Age : 37 7 7
Localisation : La ville au 100 clochers
Cursus : L1 Droit
Inscription : 29/02/2008
Re: les étudiants et l'alcool
nico.sav a écrit:Plus sérieusement, j'ai un peu du mal à comprendre comment les gens peuvent boire de l'alcool, j'ai essayé des alcools pas fort du tout, ou bien des alcools supers dilués et il me faut 20min pour boire le verre composé de 90% de jus d'orange ou de jus de pommes avec le reste de vodka...
Les gens me regardent bizarrement quand je dis que je peux passer une soirée entre amis sans picoler et m'amuser quand même...
Exactement pareil, je me reconnais bien là dedans ! Souvent même je suis trop écoeurée pour finir le verre (le seul verre que j'ai réussi à finir dans ma vie c'était ... un kir... )
Pour la question : Je pense qu'au lendemain d'une bonne cuite on est pas encore en état de conduire, je pense qu'il faut une bonne nuit supplémentaire pour reconduire, donc environ 24h plus tard.
Pour le pétard je pense que c'est moins long mais ne fumant pas moi même je peux pas dire quand on reprend entièrement controle de ses capacités.
Yadynn- Je connais toute ma promo
- Messages : 262
Age : 39 83 83
Localisation : Saint-Denis Wesh !
Cursus : INSA Chimie
Sonanbul, CinéCampus
Inscription : 14/09/2007
Re: les étudiants et l'alcool
Bonne réponse pour la première partie de la question ; on perd 0.1 gr par heure. 2 gr = 20 heures (quelques personnes métabolisent plus ou moins vite, c'est génétique, l'alimentation et la corpulence influencent peu l'élimination).
Pour la seconde partie, je me rends compte que ma question est incomplète : il fallait lire :
trois pétards par semaine : au bout de combien de temps peut prendre le volant (ou le guidon) ??
La question reste ouverte.
A bientôt !
Pour la seconde partie, je me rends compte que ma question est incomplète : il fallait lire :
trois pétards par semaine : au bout de combien de temps peut prendre le volant (ou le guidon) ??
La question reste ouverte.
A bientôt !
Dr Meyrignac- Personnel de l'université
- Messages : 43
2 2
Inscription : 12/03/2008
Re: les étudiants et l'alcool
Yadynn a écrit:
Exactement pareil, je me reconnais bien là dedans ! Souvent même je suis trop écoeurée pour finir le verre (le seul verre que j'ai réussi à finir dans ma vie c'était ... un kir... )
Je suis même écoeuré avant la première gorgée, par l'odeur, je finis mon verre pour le finir, mais j'en reprends jamais...en gros, quand on me dit : "aller vas y goûte tu vas aimer" je veux bien essayer, je regrette trèèèès vite!
Re: les étudiants et l'alcool
Réponse pour Maya :
Le coma éthylique est défini par une rupture de la conscience : le contact est impossible à établir, les réponses sont inadaptées, confuses. La somnolence n'induit pas ces modifications, les réponses sont plus adaptées. Attention, les différences sont parfois minces. Pour un sujet inconscient : c'est facile, pour un sujet confus, c'est plus difficile. La bonne attitude consiste à placer l'individu en position latérale de sécurité : le risque est l'inhalation des régurgitations (bon appétit !). IL NE FAUT JAMAIS LAISSER SEUL UN COMA ÉTHYLIQUE. Il faut toujours appeler les secours. Votre responsabilité peut être engagée si ça tourne mal.
L'amnésie qui suit une soirée arrosée est provoquée par des doses très faibles d'alcool. Elle est présente bien avant le coma (d'où les affaires médico légales).
J'apprends donc que des fêtes sans alcool seraient possibles ! J'attends vos témoignages.
Bonne journée.
Le coma éthylique est défini par une rupture de la conscience : le contact est impossible à établir, les réponses sont inadaptées, confuses. La somnolence n'induit pas ces modifications, les réponses sont plus adaptées. Attention, les différences sont parfois minces. Pour un sujet inconscient : c'est facile, pour un sujet confus, c'est plus difficile. La bonne attitude consiste à placer l'individu en position latérale de sécurité : le risque est l'inhalation des régurgitations (bon appétit !). IL NE FAUT JAMAIS LAISSER SEUL UN COMA ÉTHYLIQUE. Il faut toujours appeler les secours. Votre responsabilité peut être engagée si ça tourne mal.
L'amnésie qui suit une soirée arrosée est provoquée par des doses très faibles d'alcool. Elle est présente bien avant le coma (d'où les affaires médico légales).
J'apprends donc que des fêtes sans alcool seraient possibles ! J'attends vos témoignages.
Bonne journée.
Dr Meyrignac- Personnel de l'université
- Messages : 43
2 2
Inscription : 12/03/2008
Re: les étudiants et l'alcool
Dr Meyrignac a écrit:J'apprends donc que des fêtes sans alcool seraient possibles ! J'attends vos témoignages.
Au dela, c'est parfois l'alcool qui plombe les soirées : Entre petits désagréments et autres dérapages, sans parler des jeux à boire qui divisent les gens en deux groupes...
Re: les étudiants et l'alcool
Dr Meyrignac a écrit:J'apprends donc que des fêtes sans alcool seraient possibles ! J'attends vos témoignages.
Bonne journée.
Il suffit de faire des évènements un minimum sérieux, je prends mon exemple : des soirées jeux de rôles où l'alcool est plutôt déconseillé pour ne pas être trop embrouillé, des conventions quelconques, c'est sûr que si on va en boîte de nuit, (pardonnez moi l'expression) on se fait vite ch***. Alors faut bien faire quelque chose....
Je fréquentais un groupe d'étudiants, il y a 3ans, qui était dans l'idée d'essayer un peu tout ce qu'il existait pour planer...j'ai rapidement arrêter de participer à leurs soirées, si il faut être drogué pour s'apprécier, ça ne vaut pas la peine de se fréquenter...
S'amuser sans alcools? venez à la prochaine partie de Loup Garou proposé par sonanbul, les conventions de jeux de rôles qui vont s'organiser dans le courant de l'année (bon ok je fais ma pub un peu mais bon :P ) et vous verrez bien...(d'ailleurs venez voir un peu tous les évènements culturelles sur la fac, il n'y a pas que des beuveries en boite de nuit ou bien entre amis, je ne parle pas que pour Dr Meyrignac mais pour tout ceux qui pensent qu'on peut pas s'amuser sans alcools...)
Enfin voilà, pour moi l'alcool ne sert pas à grand chose et on peut très bien s'en passer si on s'en donne les moyens (un peu d'imagination suffit )
Re: les étudiants et l'alcool
Ce topic m'intéresse pas mal, et je rebondis sur cette phrase pour passer mon coup de gueule :Dr Meyrignac a écrit:J'apprends donc que des fêtes sans alcool seraient possibles ! J'attends vos témoignages.
Marre de me trouver dans des soirées où le préalable à une bonne intégration est la consommation d'une canette de bière !
Vous l'aurez compris, je bois très rarement, et à chaque fois, c'est histoire de pas laisser mes compagnons de route "seuls" avec leur verre (ou plutôt ne pas me retrouver seul sans). Et quand je bois, c'est un verre sinon deux, pas plus ; je n'aime pas le goût de l'alcool à de rares exceptions près.
C'est la raison principale pour laquelle je fréquente très peu les soirées : à chaque fois, l'alcool a complètement investi les lieux, et dès 23h on croise des ivrognes qui savent pas se tenir et qui sentent la bibine à trois mètres.
Impossible de parler tranquillement avec quelqu'un (et même de draguer, d'ailleurs ^^) sans avoir un verre pour faire bien.
À ma dernière grosse soirée, j'en avais tellement jusque là des incitations de mes camarades (que je ne connaissais absolument pas, mais c'est pas grave, les situations absurdes sont légion en soirée ...) que j'ai fini par m'armer d'un verre de limonade ... Pour avoir droit aux regards de travers.
Le pire, c'est que cette situation vous paraît, pour majorité, totalement normale ... Alors qu'avouez ... C'est absurde !
Il n'est pas interdit de boire, c'est sûr, le problème c'est qu'on a l'impression qu'il est défendu de ne pas boire ...
La phrase peut d'ailleurs se reporter aux soirées : quand je dis que je n'aime pas trop fréquenter les soirées, on me regarde comme si j'étais le dernier des ploucs même pas à la mode.
L'association automatique alcool/esprit de fête est très déplacée, sinon inepte je trouve.
Il est bien sûr compréhensible que la bringue ou tout autre affilié soit considéré comme moyen d'évasion, ce que je fustige c'est le sentiment d'obligation
-> Vous connaissez, vous aussi, les "mais bien sûr c'est ton droit de ne pas boire" vachement franc (en début de soirée) puis le "rooooh mec vas-y prends en une petite ! Mais décoince-toi !" une fois la personne pré-citée bourrée ?
Re: les étudiants et l'alcool
Merci pour vos témoignages très intéressants.
Si vous avez des questions sur l'alcool, n'hésitez pas !
Si je ne connais pas la réponse, je connais des gens qui la connaissent.
A bientôt.
Si vous avez des questions sur l'alcool, n'hésitez pas !
Si je ne connais pas la réponse, je connais des gens qui la connaissent.
A bientôt.
Dr Meyrignac- Personnel de l'université
- Messages : 43
2 2
Inscription : 12/03/2008
Re: les étudiants et l'alcool
Je suis 100% d'accord avec toi Théo. Tu as énoncé aussi ce que je pensai.
Pas mal de mes ami(e)s m'ont aussi durant des soirées essayé de me faire boire de l'alcool, parce qu'ils savent que je ne tiens pas à l'alcool et que je ne bois pas etc...
Je trouve qu'un tel comportement est irresponsable. Malheureusement il y en a beaucoup.
Donc on a l'impression en effet que s'il y a pas d'alcool, on s'amuse pas. C'est pas vrai, on peut s'amuser et rigoler sans tout cela, et surtout boire avec modération pour les grandes occasions surtout.
Evidement, je me laisse pas faire en général, mais on a l'impression que c'est limite l'obligation. Boire devient donc une norme dans les fêtes, et je trouve cela très grave.
Pas mal de mes ami(e)s m'ont aussi durant des soirées essayé de me faire boire de l'alcool, parce qu'ils savent que je ne tiens pas à l'alcool et que je ne bois pas etc...
Je trouve qu'un tel comportement est irresponsable. Malheureusement il y en a beaucoup.
Donc on a l'impression en effet que s'il y a pas d'alcool, on s'amuse pas. C'est pas vrai, on peut s'amuser et rigoler sans tout cela, et surtout boire avec modération pour les grandes occasions surtout.
Evidement, je me laisse pas faire en général, mais on a l'impression que c'est limite l'obligation. Boire devient donc une norme dans les fêtes, et je trouve cela très grave.
AngelNight- Chargé conseils
- Messages : 2913
Age : 42 2985 363
Localisation : Antony
Cursus : Contrôleur Des finances publiques
Inscription : 25/01/2008
Re: les étudiants et l'alcool
Faut pas non plus entrer dans la diabolisation, comme on le fait pour l'interdiction de fumer.
Y'a certes un problème de respect de ceux qui ne boivent pas, mais ça a pas mal changé sur ce point : Combien de fois on m'a dit "ah c'est bien des gens comme toi il en faudrait +" au sujet du retour à la maison en voiture... Celui qui ne boit pas n'est plus forcément différent... et "pas drôle" (transmettez à vos amis ) pour peu qu'il ait le permis de conduire !!
Y'a certes un problème de respect de ceux qui ne boivent pas, mais ça a pas mal changé sur ce point : Combien de fois on m'a dit "ah c'est bien des gens comme toi il en faudrait +" au sujet du retour à la maison en voiture... Celui qui ne boit pas n'est plus forcément différent... et "pas drôle" (transmettez à vos amis ) pour peu qu'il ait le permis de conduire !!
Re: les étudiants et l'alcool
Tout à fait d'accord pour éviter la diabolisation. L'alcool fait partie de notre société depuis qu'elle existe. Encore une fois, ce n'est l'alcool le problème. Le problème, c'est le mésusage !
J'aimerais partager l'optimisme de Maïky sur l'évolution favorable de la considération portée à ceux qui boivent suffisamment peu pour raccompagner les autres.
Reconnaissants ou interessés ?
Allez, on y croit !
J'aimerais partager l'optimisme de Maïky sur l'évolution favorable de la considération portée à ceux qui boivent suffisamment peu pour raccompagner les autres.
Reconnaissants ou interessés ?
Allez, on y croit !
Dr Meyrignac- Personnel de l'université
- Messages : 43
2 2
Inscription : 12/03/2008
Re: les étudiants et l'alcool
On peut boire et s'amuser, pas boire et s'amuser...
On peut faire des soirées ou certains boivent et d'autres pas et ça se passe tres bien... Tout est dans la quantité !
On peut faire des soirées ou certains boivent et d'autres pas et ça se passe tres bien... Tout est dans la quantité !
Hehe- Habitué de Fac-here
- Messages : 312
37 10
Inscription : 11/02/2008
Re: les étudiants et l'alcool
salut
Dr Meyrignac, ce topic est très intéressant . pouviez vous nous donner des adresses pour les étudiants et les non étudiants qui se posent des questions des questions sur leurs consommations perso et qui se demande si il y a pas danger pour eux. car j'imagine que certains étudiants lisent ce topic mais préféreraient en parler individuellement à des professionnelles ou des associations sur rouen.
Dr Meyrignac, ce topic est très intéressant . pouviez vous nous donner des adresses pour les étudiants et les non étudiants qui se posent des questions des questions sur leurs consommations perso et qui se demande si il y a pas danger pour eux. car j'imagine que certains étudiants lisent ce topic mais préféreraient en parler individuellement à des professionnelles ou des associations sur rouen.
schoe- Administrateur asso
- Messages : 375
215 84
Inscription : 05/09/2007
Page 2 sur 7 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Sujets similaires
» Rouen Etudiants, l'application smartphone pour les étudiants
» Télé-étudiants ?
» Le Téléthon et les étudiants
» Ces étudiants qui ont besoin de vacances... à la mer !
» 1515, association des étudiants en LSH-SHS
» Télé-étudiants ?
» Le Téléthon et les étudiants
» Ces étudiants qui ont besoin de vacances... à la mer !
» 1515, association des étudiants en LSH-SHS
Page 2 sur 7
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|