UNEF, le syndicat étudiant
+22
Chester
Wilhjelm
Parthenope
FatNoZ
EugèneKrampon
stoon
Péat
Jonas
Magdalena
Grincheux
vinc
nico.sav
lucy-kenoby
piplete
Branwen
Metatron
Sillage
bEN
Gwilh
Maïky
balalahihou
Boris Chaumette
26 participants
Fac-here, le forum de la fac de Rouen et des étudiants rouennais ! :: Assos étudiantes / International :: :: Les associations étudiantes
Page 12 sur 13
Page 12 sur 13 • 1, 2, 3 ... , 11, 12, 13
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Retrouvez la profession de foi avec le bilan et le programme de l'UNEF en cliquant ici
Boris Chaumette- Dis-donc, tu viens plus aux soirées !
- Messages : 195
Age : 40 172 11
Localisation : Rouen
Campus :- Martainville,
Inscription : 27/11/2008
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Boris Chaumette a écrit:Sauf que le responsable dont je crois que tu parles ne touche pas de bourse étudiante.
Ne touche plus mon cher, c'est une nuance importante
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Si c'est la personne à laquelle je pense ça fait 3 ans qu'il touche pas de bourse.
Boris Chaumette- Dis-donc, tu viens plus aux soirées !
- Messages : 195
Age : 40 172 11
Localisation : Rouen
Campus :- Martainville,
Inscription : 27/11/2008
SOS examen : tout savoir sur ses droits pour mieux les défendre
L'UNEF mène une campagne pour rappeler aux étudiants leurs droits en matière d'examens.
Des permanences téléphoniques (tel : 06 88 40 60 64) ou par mail (rouen@unef.fr) sont mises en place pour répondre à tous les problèmes que pourraient rencontrer les étudiants de l'Université de Rouen.
Rappel des droits étudiants en matière d'examen :
La compensation semestrielle: C’est la méthode de calcul de la moyenne du semestre. Les notes des différentes UE (unités d’enseignement) se compensent (en fonction de leurs coefficients) pour obtenir la moyenne semestrielle.
La capitalisation: Les UE où l’étudiant a obtenu une moyenne de 10 ou plus sont définitivement acquis es (donc même en cas de redoublement).
La compensation annuelle: Cela consiste à faire la moyenne du premier et du second semestre pour valider son année.
Les notes éliminatoires sont interdites (sauf en médecine).
Pendant les épreuves :
- Arrivé en retard ? L’étudiant doit pouvoir se présenter en principe jusqu’à 1 heure après le début de l’épreuve.
- L’anonymat des copies: l’anonymat des copies doit être obligatoirement assuré lors des épreuves de contrôle terminal.
- En cas d’accusation de fraude: l’étudiant accusé par un surveillant de fraude doit avoir la possibilité de terminer l’épreuve. Le surveillant rédigera un rapport et saisira la commission disciplinaire qui seule peut délivrer une sanction. Nul étudiant ne peut être empêché de terminer son épreuve.
- Spécial étudiants handicapés: les étudiants souffrant d’un handicap peuvent bénéficier d’un tiers temps lors des épreuves. Pour cela, il faut préalablement en faire la demande auprès de la « mission handicap » de l’université.
- Spécial étudiants salariés: les étudiants salariés ont droit à un congé de formation pour préparer et passer leurs examens (L931-1 code du travail). Il est nécessaire de faire la demande de congé à son employeur 60 jours à l’avance (R931-1 code du travail), en précisant l’intitulé et la date de l’examen. Il faut également fournir à son employeur un justificatif de présence aux examens.
ATTENTION: le congé « peut » être accordé, il n’est pas de droit.
Après les épreuves
- Consulter sa copie: les étudiants ont le droit de demander à consulter leur copie d’examens et à s’entretenir avec le correcteur. De plus en plus souvent les enseignants organisent une réunion de consultation. Renseignez-vous directement auprès d'eux.
- Le droit à la seconde session: Toutes les universités sont tenues d’organiser une seconde session d’examen (dite de rattrapages). Cette seconde session doit être séparée de la première par une période de minimum deux mois (Arrêté ministériel du 22/04/2002).
- La section disciplinaire: l’étudiant accusé de fraude est convoqué devant la section disciplinaire. Une première fois en instruction, la seconde en jugement. Dans les deux cas, il est possible de se faire accompagné par la personne de son choix. N’hésitez pas à contacter l’UNEF si vous vous retrouvez dans cette situation.
Vous pouvez consulter la charte des examens de l'Université de Rouen en cliquant ici
Rappel : cette année en L1 de psychologie et en L1 de sociologie, la fac avait décidé de supprimer les rattrapages. Suite à la mobilisation des élus UNEF dans les conseils de l'Université, la fac a été obligée de remettre les rattrapages. Si vous constatez des problèmes dans l'organisation des épreuves, veuillez nous contacter au 06 37 65 51 44.
Des permanences téléphoniques (tel : 06 88 40 60 64) ou par mail (rouen@unef.fr) sont mises en place pour répondre à tous les problèmes que pourraient rencontrer les étudiants de l'Université de Rouen.
Rappel des droits étudiants en matière d'examen :
La compensation semestrielle: C’est la méthode de calcul de la moyenne du semestre. Les notes des différentes UE (unités d’enseignement) se compensent (en fonction de leurs coefficients) pour obtenir la moyenne semestrielle.
La capitalisation: Les UE où l’étudiant a obtenu une moyenne de 10 ou plus sont définitivement acquis es (donc même en cas de redoublement).
La compensation annuelle: Cela consiste à faire la moyenne du premier et du second semestre pour valider son année.
Les notes éliminatoires sont interdites (sauf en médecine).
Pendant les épreuves :
- Arrivé en retard ? L’étudiant doit pouvoir se présenter en principe jusqu’à 1 heure après le début de l’épreuve.
- L’anonymat des copies: l’anonymat des copies doit être obligatoirement assuré lors des épreuves de contrôle terminal.
- En cas d’accusation de fraude: l’étudiant accusé par un surveillant de fraude doit avoir la possibilité de terminer l’épreuve. Le surveillant rédigera un rapport et saisira la commission disciplinaire qui seule peut délivrer une sanction. Nul étudiant ne peut être empêché de terminer son épreuve.
- Spécial étudiants handicapés: les étudiants souffrant d’un handicap peuvent bénéficier d’un tiers temps lors des épreuves. Pour cela, il faut préalablement en faire la demande auprès de la « mission handicap » de l’université.
- Spécial étudiants salariés: les étudiants salariés ont droit à un congé de formation pour préparer et passer leurs examens (L931-1 code du travail). Il est nécessaire de faire la demande de congé à son employeur 60 jours à l’avance (R931-1 code du travail), en précisant l’intitulé et la date de l’examen. Il faut également fournir à son employeur un justificatif de présence aux examens.
ATTENTION: le congé « peut » être accordé, il n’est pas de droit.
Après les épreuves
- Consulter sa copie: les étudiants ont le droit de demander à consulter leur copie d’examens et à s’entretenir avec le correcteur. De plus en plus souvent les enseignants organisent une réunion de consultation. Renseignez-vous directement auprès d'eux.
- Le droit à la seconde session: Toutes les universités sont tenues d’organiser une seconde session d’examen (dite de rattrapages). Cette seconde session doit être séparée de la première par une période de minimum deux mois (Arrêté ministériel du 22/04/2002).
- La section disciplinaire: l’étudiant accusé de fraude est convoqué devant la section disciplinaire. Une première fois en instruction, la seconde en jugement. Dans les deux cas, il est possible de se faire accompagné par la personne de son choix. N’hésitez pas à contacter l’UNEF si vous vous retrouvez dans cette situation.
Vous pouvez consulter la charte des examens de l'Université de Rouen en cliquant ici
Rappel : cette année en L1 de psychologie et en L1 de sociologie, la fac avait décidé de supprimer les rattrapages. Suite à la mobilisation des élus UNEF dans les conseils de l'Université, la fac a été obligée de remettre les rattrapages. Si vous constatez des problèmes dans l'organisation des épreuves, veuillez nous contacter au 06 37 65 51 44.
Boris Chaumette- Dis-donc, tu viens plus aux soirées !
- Messages : 195
Age : 40 172 11
Localisation : Rouen
Campus :- Martainville,
Inscription : 27/11/2008
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Pour le retard, c'est pas un quart de la durée de l'épreuve ? Sur mes épreuves de 2h, les portes sont closes à la fin de la première demie heure, ou alors, dès qu'un étudiant est sorti, plus personne ne rentre ... (normal, ils se seront forcément refilé les sujets)
plassben- Iguane dans la forêt
- Messages : 1589
Age : 42 1745 250
Localisation : La Picardie des V.I.P
Campus :- ...
Année : moins de 30
Emploi : Chasseur de missions
fac here/Sonanbul/SHA/ACCER
Inscription : 08/01/2008
Re: UNEF, le syndicat étudiant
En fait il n'y a pas de règles précises. Parfois aucun retard n'est accepté (médecine) ; parfois les enseignants sont souples.
C'est pour ça que c'est écrit "en principe 1 heure" mais tu as raison : pour des épreuves courtes c'est souvent moins longtemps.
C'est pour ça que c'est écrit "en principe 1 heure" mais tu as raison : pour des épreuves courtes c'est souvent moins longtemps.
Boris Chaumette- Dis-donc, tu viens plus aux soirées !
- Messages : 195
Age : 40 172 11
Localisation : Rouen
Campus :- Martainville,
Inscription : 27/11/2008
Re: UNEF, le syndicat étudiant
En bio nous avions pour consigne de laisser 1/4 de la durée totale de l'épreuve pour les retards et de n'autoriser aucune sortie avant 1h d'examen justement pour éviter les croisements.
FatNoZ- La BU me connait bien
- Messages : 149
Age : 41 218 63
Localisation : Balamb Garden University
Cursus : Doctorat Biologie, Santé, Sieste...
Inscription : 02/07/2009
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Boris Chaumette a écrit:En fait il n'y a pas de règles précises. Parfois aucun retard n'est accepté (médecine) ; parfois les enseignants sont souples.
C'est pour ça que c'est écrit "en principe 1 heure" mais tu as raison : pour des épreuves courtes c'est souvent moins longtemps.
Si il y a une règle précise, cf. la charte des examens de l'Université de Rouen que vous donnez sur votre post précédent. C'est effectivement 1/4 de la durée de l'épreuve. A partir de cette durée les étudiants qui rendent copie blanche (ou qui ont fini) ont le droit de sortir. Le corolaire c'est que plus personne n'entre. De plus pour les retards oui nous acceptons souvent de façon assez souple mais en principe les retards devraient être dus uniquement à des cas de force majeure (cf. la charte de nouveau).
Pour la Psychologie et la Sociologie ce ne sont pas tous les rattrapages qui avaient été supprimés. Étaient concernés ceux dont les épreuves au cours de l'année étaient passés en contrôle continu. Et cela ne concernait donc pas que du L1.
vincent_roy- Enseignant à l'université
- Messages : 182
188 150
Inscription : 13/03/2008
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Ayant vu une affiche de l'UNEF à coté de la machine à café je pense qu'il serait bien de rectifier le : L’étudiant doit pouvoir se présenter en principe jusqu’à 1 heure après le début de l’épreuve. C'est complètement faux, en particulier sur les épreuves d'1 heure.
De plus psycho-socio ne s'écrit pas psycho-sociaux...
De plus psycho-socio ne s'écrit pas psycho-sociaux...
vincent_roy- Enseignant à l'université
- Messages : 182
188 150
Inscription : 13/03/2008
Re: UNEF, le syndicat étudiant
C'est en cours de correction. On a déjà changé sur le blog et on est en train de lancer une nouvelle série d'affiches...
Boris Chaumette- Dis-donc, tu viens plus aux soirées !
- Messages : 195
Age : 40 172 11
Localisation : Rouen
Campus :- Martainville,
Inscription : 27/11/2008
Meeting sur les retraites à Rouen
Lundi 14 juin, un grand meeting pour faire entendre les exigences citoyennes sur les retraites et dénoncer le projet actuel du gouvernement se tiendra à la halle aux toiles de Rouen à partir de 20h.
De nombreux intervenants seront présents :
Christiane MARTY (Attac),
Willy PELLETIER (Fondation Copernic),
Eric AUBIN (CGT),
Elisabeth LABAYE (FSU),
Pierre KHALFA (Solidaires),
Jean-Baptiste PREVOST (UNEF)
Rachel LAFONTAINE (Les Alternatifs),
Pierre LARROUTUROU (Europe Ecologie / Les Verts),
Pierre COURS-SALIES (FASE),
François CALARET (Gauche Unitaire),
Olivier BESANCENOT (NPA),
Jacky HENIN (PCF),
Jean-Luc MELENCHON (Parti de Gauche),
Guillaume BACHELAY (PS),
Gérard FILOCHE (Inspecteur du Travail)
Ce meeting sera l'occasion de rappeler que d'autres solutions peuvent aisément être mises en place pour maintenir la solidarité entre les générations. L'UNEF est signataire avec 18 autres organisations de jeunesse d'un appel unitaire pour rappeler que la retraite c'est aussi "une affaire de jeunes". Cet appel peut être lu et signé sur http://retraites-jeunes.net/
Un site national unitaire avec une pétition en ligne a également été ouvert sur la question des retraites : http://exigences-citoyennes-retraites.net/
De nombreux intervenants seront présents :
Christiane MARTY (Attac),
Willy PELLETIER (Fondation Copernic),
Eric AUBIN (CGT),
Elisabeth LABAYE (FSU),
Pierre KHALFA (Solidaires),
Jean-Baptiste PREVOST (UNEF)
Rachel LAFONTAINE (Les Alternatifs),
Pierre LARROUTUROU (Europe Ecologie / Les Verts),
Pierre COURS-SALIES (FASE),
François CALARET (Gauche Unitaire),
Olivier BESANCENOT (NPA),
Jacky HENIN (PCF),
Jean-Luc MELENCHON (Parti de Gauche),
Guillaume BACHELAY (PS),
Gérard FILOCHE (Inspecteur du Travail)
Ce meeting sera l'occasion de rappeler que d'autres solutions peuvent aisément être mises en place pour maintenir la solidarité entre les générations. L'UNEF est signataire avec 18 autres organisations de jeunesse d'un appel unitaire pour rappeler que la retraite c'est aussi "une affaire de jeunes". Cet appel peut être lu et signé sur http://retraites-jeunes.net/
Un site national unitaire avec une pétition en ligne a également été ouvert sur la question des retraites : http://exigences-citoyennes-retraites.net/
Boris Chaumette- Dis-donc, tu viens plus aux soirées !
- Messages : 195
Age : 40 172 11
Localisation : Rouen
Campus :- Martainville,
Inscription : 27/11/2008
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Lundi 14 juin, environ 700 personnes se sont réunies à l'appel du collectif 76 pour les retraites au meeting unitaire de Rouen. Cette réussite est liée à la volonté de la population de faire entendre leur exigence d'une retraite juste et solidaire mais aussi à la belle unité affichée lors de cet événement puisque 15 intervenants se sont succédés à la tribune. Parmi eux, Jean-Baptiste Prévost, président national de l'UNEF, a rappelé que la retraite était aussi une affaire de jeunes.
Pour voir la vidéo du JT de France 3 consacrée à ce meeting, cliquez ici :
vidéo
Le gouvernement a annoncé mercredi 16 juin le contenu précis de la réforme des retraites.
L'UNEF a immédiatement réagi à cette annonce en exigeant le retrait de cette réforme brutale et injuste et appelle les jeunes à manifester le 24 juin :
L’avant projet de réforme des retraites que vient de rendre public le gouvernement confirme les inquiétudes exprimées par les jeunes et les salariés le 27 mai. Dictée par les marchés financiers, et reprenant à son compte la plupart des exigences du MEDEF,cette réforme, qui repousse l’âge légal de départ en retraite de 60 à 62 ans, représente un recul majeur du droit à la retraite pour les salariés.
L’affichage d’une contribution symbolique des hauts revenus et des revenus du capital (pour un impact estimé à 4,4 milliards d’euros en 2020) ne parvient pas à faire oublier l’essentiel : le gouvernement fait reposer plus des deux tiers des sources de financements supplémentaires (20,2 milliards d’euros) sur des « mesures d’âge » (allongement de la durée de cotisation, report de l’âge légal…). Pour les plus « chanceux », cette réforme aura pour conséquence de travailler plus longtemps. Pour tous les autres, elle se traduira par une baisse des pensions. Le gouvernement entend ainsi financer massivement sa réforme par la baisse inacceptable des retraites et du niveau des pensions.
Les fonctionnaires vont également payer le prix fort. Alors que le gouvernement n’envisage aucune contribution supplémentaire de l’Etat pour les retraites de la fonction publique, l’augmentation des cotisations des fonctionnaires (de 7,85 % à 10,55 %) va se traduire par une baisse de salaire de 720 € annuels (60€ par mois) au bout de 10 ans !
Les jeunes refusent l’instauration d’un système de retraites au rabais en leur nom !
En prétendant « sauver » les retraites par répartition pour les générations futures, cette réforme aura pour conséquence d’euthanasier la solidarité en baissant les pensions et en organisant un système solidaire a minima.
Les jeunes seront parmi les plus touchés par la réforme à venir. Avec cette réforme, quel sera le niveau de retraite futur pour un jeune d’aujourd’hui avec un parcours professionnel « à trous » ? Quel sera le niveau de retraite de nos parents qui vont partir à la retraite dans les prochaines années ? Qui paiera pour leurs retraites : un système de retraite solidaire désormais a minima ou carrément leurs enfants?
Alors qu’un récent sondage enregistrait une forte montée de l’inquiétude concernant l’avenir des retraites des 18-24 ans (+10 points par rapport à avril à 44%) et des 25-34 ans (+5 à 55%), le message envoyé aux jeunes avec cette réforme est clair : la retraite par répartition, ce n’est pas pour vous !
Cette réforme constitue une véritable double peine pour les jeunes : elle va les maintenir plus longtemps au chômage en début de carrière, et plus longtemps au travail pour toucher une retraite à taux plein. Elle les enferme dans l’incertitude et la peur du lendemain : déjà que les jeunes ne savent pas quand ils vont obtenir leur premier emploi stable, mais désormais ils ne savent pas non plus quand ils pourront s’arrêter de travailler pour toucher une retraite décente. Une politique qui permet aux 29% de jeunes actuellement au chômage d’accéder à l’emploi serait à l’inverse une réponse qui permettrait d’augmenter le nombre de cotisants et d’assurer le financement des retraites !
En refusant de mobiliser de nouvelles recettes de manière significative, le gouvernement se fixe pour objectif de pousser les jeunes à se replier sur la capitalisation pour assurer leurs vieux jours. Epargner individuellement dans des fonds de pensions, qui peuvent être ruinés du jour au lendemain comme la crise l’a démontré, est précisément la solution qu’ils rejettent ! Les jeunes n’ont pas la possibilité financière d’épargner, surtout au vu de leurs conditions d’insertion professionnelle difficiles.
La jeunesse, qui subit collectivement les effets de la crise économique et la remontée du chômage, refuse que ses droits servent de variable d’ajustement, et que son avenir soit confisqué par des opérations comptables, comme elle l’a démontré en 2006 lors de la mobilisation contre le CPE. Elle attend au contraire que l’allongement de la durée de vie, comme l’allongement des périodes d’études, ne soient pas synonymes de régression sociale.
En offrant aux jeunes la possibilité de valider gratuitement 6 trimestres lors des périodes de chômage non indemnisé en début de carrière (contre 4 auparavant), le gouvernement reconnaît les difficultés d’insertion professionnelle des jeunes. Mais cette mesure est largement insuffisante : elle ne concernera que 6000 bénéficiaires potentiels, alors que plus de 300 000 jeunes de moins de 30 ans sont actuellement au chômage sans aucune indemnisation ! Rien n’est prévu concernant la validation des périodes d’études.
L’UNEF demande que toute évolution du système de retraite intègre :
- la validation des années d’études dans le calcul des annuités ouvrant droit à retraite, car étudier ne doit pas être pénalisant
- la prise en compte de l’ensemble des périodes d’inactivité forcée dans le calcul des retraites, et notamment des périodes de stages, d’insertion, d’emplois précaires et de chômage non-indemnisé qui conduisent les jeunes à accumuler des droits à retraite très incomplets.
L’UNEF exige le retrait de cette réforme. Elle appelle les jeunes à se mobiliser contre un projet de réforme des retraites qui les pénalise durement.
L’UNEF poursuit sa campagne d’information et de mobilisation des jeunes et appelle à signer massivement l’appel unitaire de 21 organisations de jeunesses « la retraite, une affaire de jeunes » (retraites-jeunes.net).
L’UNEF appelle les jeunes et les étudiants à manifester le 24 juin prochain aux côtés des salariés pour faire reculer le gouvernement.
Pour voir la vidéo du JT de France 3 consacrée à ce meeting, cliquez ici :
vidéo
Le gouvernement a annoncé mercredi 16 juin le contenu précis de la réforme des retraites.
L'UNEF a immédiatement réagi à cette annonce en exigeant le retrait de cette réforme brutale et injuste et appelle les jeunes à manifester le 24 juin :
L’avant projet de réforme des retraites que vient de rendre public le gouvernement confirme les inquiétudes exprimées par les jeunes et les salariés le 27 mai. Dictée par les marchés financiers, et reprenant à son compte la plupart des exigences du MEDEF,cette réforme, qui repousse l’âge légal de départ en retraite de 60 à 62 ans, représente un recul majeur du droit à la retraite pour les salariés.
L’affichage d’une contribution symbolique des hauts revenus et des revenus du capital (pour un impact estimé à 4,4 milliards d’euros en 2020) ne parvient pas à faire oublier l’essentiel : le gouvernement fait reposer plus des deux tiers des sources de financements supplémentaires (20,2 milliards d’euros) sur des « mesures d’âge » (allongement de la durée de cotisation, report de l’âge légal…). Pour les plus « chanceux », cette réforme aura pour conséquence de travailler plus longtemps. Pour tous les autres, elle se traduira par une baisse des pensions. Le gouvernement entend ainsi financer massivement sa réforme par la baisse inacceptable des retraites et du niveau des pensions.
Les fonctionnaires vont également payer le prix fort. Alors que le gouvernement n’envisage aucune contribution supplémentaire de l’Etat pour les retraites de la fonction publique, l’augmentation des cotisations des fonctionnaires (de 7,85 % à 10,55 %) va se traduire par une baisse de salaire de 720 € annuels (60€ par mois) au bout de 10 ans !
Les jeunes refusent l’instauration d’un système de retraites au rabais en leur nom !
En prétendant « sauver » les retraites par répartition pour les générations futures, cette réforme aura pour conséquence d’euthanasier la solidarité en baissant les pensions et en organisant un système solidaire a minima.
Les jeunes seront parmi les plus touchés par la réforme à venir. Avec cette réforme, quel sera le niveau de retraite futur pour un jeune d’aujourd’hui avec un parcours professionnel « à trous » ? Quel sera le niveau de retraite de nos parents qui vont partir à la retraite dans les prochaines années ? Qui paiera pour leurs retraites : un système de retraite solidaire désormais a minima ou carrément leurs enfants?
Alors qu’un récent sondage enregistrait une forte montée de l’inquiétude concernant l’avenir des retraites des 18-24 ans (+10 points par rapport à avril à 44%) et des 25-34 ans (+5 à 55%), le message envoyé aux jeunes avec cette réforme est clair : la retraite par répartition, ce n’est pas pour vous !
Cette réforme constitue une véritable double peine pour les jeunes : elle va les maintenir plus longtemps au chômage en début de carrière, et plus longtemps au travail pour toucher une retraite à taux plein. Elle les enferme dans l’incertitude et la peur du lendemain : déjà que les jeunes ne savent pas quand ils vont obtenir leur premier emploi stable, mais désormais ils ne savent pas non plus quand ils pourront s’arrêter de travailler pour toucher une retraite décente. Une politique qui permet aux 29% de jeunes actuellement au chômage d’accéder à l’emploi serait à l’inverse une réponse qui permettrait d’augmenter le nombre de cotisants et d’assurer le financement des retraites !
En refusant de mobiliser de nouvelles recettes de manière significative, le gouvernement se fixe pour objectif de pousser les jeunes à se replier sur la capitalisation pour assurer leurs vieux jours. Epargner individuellement dans des fonds de pensions, qui peuvent être ruinés du jour au lendemain comme la crise l’a démontré, est précisément la solution qu’ils rejettent ! Les jeunes n’ont pas la possibilité financière d’épargner, surtout au vu de leurs conditions d’insertion professionnelle difficiles.
La jeunesse, qui subit collectivement les effets de la crise économique et la remontée du chômage, refuse que ses droits servent de variable d’ajustement, et que son avenir soit confisqué par des opérations comptables, comme elle l’a démontré en 2006 lors de la mobilisation contre le CPE. Elle attend au contraire que l’allongement de la durée de vie, comme l’allongement des périodes d’études, ne soient pas synonymes de régression sociale.
En offrant aux jeunes la possibilité de valider gratuitement 6 trimestres lors des périodes de chômage non indemnisé en début de carrière (contre 4 auparavant), le gouvernement reconnaît les difficultés d’insertion professionnelle des jeunes. Mais cette mesure est largement insuffisante : elle ne concernera que 6000 bénéficiaires potentiels, alors que plus de 300 000 jeunes de moins de 30 ans sont actuellement au chômage sans aucune indemnisation ! Rien n’est prévu concernant la validation des périodes d’études.
L’UNEF demande que toute évolution du système de retraite intègre :
- la validation des années d’études dans le calcul des annuités ouvrant droit à retraite, car étudier ne doit pas être pénalisant
- la prise en compte de l’ensemble des périodes d’inactivité forcée dans le calcul des retraites, et notamment des périodes de stages, d’insertion, d’emplois précaires et de chômage non-indemnisé qui conduisent les jeunes à accumuler des droits à retraite très incomplets.
L’UNEF exige le retrait de cette réforme. Elle appelle les jeunes à se mobiliser contre un projet de réforme des retraites qui les pénalise durement.
L’UNEF poursuit sa campagne d’information et de mobilisation des jeunes et appelle à signer massivement l’appel unitaire de 21 organisations de jeunesses « la retraite, une affaire de jeunes » (retraites-jeunes.net).
L’UNEF appelle les jeunes et les étudiants à manifester le 24 juin prochain aux côtés des salariés pour faire reculer le gouvernement.
Boris Chaumette- Dis-donc, tu viens plus aux soirées !
- Messages : 195
Age : 40 172 11
Localisation : Rouen
Campus :- Martainville,
Inscription : 27/11/2008
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Qu'est-ce qui vous choque dans le fait que les cotisations des fonctionnaires soient ramenées à celles des travailleurs du privé. Cela va dans le sens de l'égalité, non ? Vous n'êtes pas pour l'égalité d'habitude ?
Le fait que les fonctionnaires ne cotisent que 7,85% et que les travailleurs du privé cotisent 10,55% était inégalitaire, et je suis surpris que vous soyez du côté de ceux qui sont plus "privilégiés" (j'emploie ce terme avec une réserve, évidemment ce ne sont pas des nantis...) que les autres... Sans compter qu'il y a la sécurité de l'emploi derrière, que leur retraite est calculée sur les six derniers mois et non sur les 25 meilleures années comme dans le privé (si je me rappelle bien), etc...
Ensuite, je trouve ça un peu étrange de vouloir comptabiliser les années d'étude dans les annuités. C'est d'abord illogique car un étudiant ne cotise pas quand il est à la fac (ce qui veut dire qu'il faut prendre de l'argent ailleurs). Et surtout, qui dit études dit généralement travail moins pénible et mieux rémunéré. Donc, on a un retard en annuités par rapport aux ouvriers (et ceux qui se sont arrêtés au bac...) mais cela est (largement) compensé par un travail moins pénible et mieux rémunéré. Là encore, je suis surpris par votre position. N'est-ce pas un deal équitable ?
Bien sûr, mais les emplois ne tombent pas du ciel ! Aucun gouvernement européen n'a la réponse aujourd'hui. Comment l'État créerait-t-il des emplois aussi facilement ? Plus de fonctionnaires ? Oui mais c'est le serpent qui se mord la queue : l'Etat rémunère les fonctionnaires, lesquels cotisent pour l'Etat, lequel finance les retraites. Pas très productif...
Le fait que les fonctionnaires ne cotisent que 7,85% et que les travailleurs du privé cotisent 10,55% était inégalitaire, et je suis surpris que vous soyez du côté de ceux qui sont plus "privilégiés" (j'emploie ce terme avec une réserve, évidemment ce ne sont pas des nantis...) que les autres... Sans compter qu'il y a la sécurité de l'emploi derrière, que leur retraite est calculée sur les six derniers mois et non sur les 25 meilleures années comme dans le privé (si je me rappelle bien), etc...
Ensuite, je trouve ça un peu étrange de vouloir comptabiliser les années d'étude dans les annuités. C'est d'abord illogique car un étudiant ne cotise pas quand il est à la fac (ce qui veut dire qu'il faut prendre de l'argent ailleurs). Et surtout, qui dit études dit généralement travail moins pénible et mieux rémunéré. Donc, on a un retard en annuités par rapport aux ouvriers (et ceux qui se sont arrêtés au bac...) mais cela est (largement) compensé par un travail moins pénible et mieux rémunéré. Là encore, je suis surpris par votre position. N'est-ce pas un deal équitable ?
Une politique qui permet aux 29% de jeunes actuellement au chômage d’accéder à l’emploi serait à l’inverse une réponse qui permettrait d’augmenter le nombre de cotisants et d’assurer le financement des retraites !
Bien sûr, mais les emplois ne tombent pas du ciel ! Aucun gouvernement européen n'a la réponse aujourd'hui. Comment l'État créerait-t-il des emplois aussi facilement ? Plus de fonctionnaires ? Oui mais c'est le serpent qui se mord la queue : l'Etat rémunère les fonctionnaires, lesquels cotisent pour l'Etat, lequel finance les retraites. Pas très productif...
Shishi- Premiers TD
- Messages : 35
86 34
Cursus : Licence
Inscription : 07/05/2009
Re: UNEF, le syndicat étudiant
L'UNEF est bien entendu pour l'égalité mais en fait cette égalité affichée par le gouvernement ne sert qu'à rogner un peu plus les droits sociaux. Pourquoi veut-il subitement mettre les fonctionnaires à la même enseigne que le privé alors qu'il n'en parlait même pas précédemment ? C'est comme pour les régimes spéciaux : on nous a fait croire à l'automne 2007 qu'on allait remettre de l'égalité en supprimant les "avantages" de certains privilégiés de la SNCF alors qu'on apprend maintenant que les régimes spéciaux des parlementaires sont toujours en vigueur. Par ailleurs, pourquoi le gouvernement ne s'attaque-t-il pas aux inégalités salariales et de retraite entre les hommes et les femmes s'il est tellement attaché à l'égalité ? Il y a une égalité qui arrange le gouvernement : l'égalité qui permet de rogner sur les droits des salariés. L'UNEF défend bien entendu l'égalité mais propose également l'harmonisation vers le haut. Pourquoi personne ne parle d'aligner le privé sur les "avantages" du public ? En fait le gouvernement souhaite diviser les salariés entre public et privé pour mieux faire passer sa réforme. La même méthode a été utilisée dans les réformes précédentes de la Sécu. On diminue les droits d'une catégorie de la population pour éviter que les autres catégories se mobilisent ; ensuite on aligne les autres catégories sur la précédente au nom de l'égalité.
Aujourd'hui ceux qui font des études sont pénalisés car ils rentrent plus tard dans le monde du travail. Le premier emploi stable est aux alentours de 27 ans en moyenne. Donc 27 + 40 = 67 ans. Donc soit on part à 67 ans, soit (ce qui est plus vraisemblable compte-tenu de la fatigue évidente passée 60 ans) on part à 60 ans et le montant de la retraite est largement amputé. Donc cette réforme est faite pour réduire l'argent touché pendant la retraite. Comptabiliser les années d'études permettrait de ne pas pénaliser ceux qui rentrent tard sur le marché du travail. Ainsi, ils pourraient également partir à 60 ans avec une retraite suffisante pour vivre dignement. Pour répondre à ta remarque sur l'illogique du système, on peut proposer une cotisation symbolique pendant la période des études. Et je rappelle que l'UNEF demande une allocation autonomie pour les étudiants, sorte de salaire étudiant qui permettrait cette cotisation.
Les emplois ne tombent pas du ciel mais une politique d'emploi peut et doit être menée par le gouvernement. Que fait-il pour s'opposer aux délocalisations ? Pourquoi en cette période de crise ne lance-t-il pas une politique de grands travaux (relance keynesienne) ? Il faut arrêter les suppressions de postes dans la fonction publique car outre la dégradation des services rendus aux usagers, celà conduit à du chomage donc à une augmentation des dépenses de la branche travail de la Sécurité Sociale et à une baisse des rentrées d'argent dans les caisses de l'Etat sous forme de cotisations.
Pour résoudre le problème des retraites on peut proposer de taxer les profits. Le rapport entre le capital et le travail a considérablement été modifié ces dernières années au profit du permier : les dividendes ont explosées, passant de 3,2 % du PIB en 1982 à 8,5 % en 2007. Pourquoi ne pas rééquilibrer ce rapport ?
Une autre solution consiste à arrêter les suppressions de cotisations des employeurs ; cela rapporterait 30 milliards d'euros par an à l'Etat. Il faut 10 milliards par an pour maintenir le système actuel de retraite...
Aujourd'hui ceux qui font des études sont pénalisés car ils rentrent plus tard dans le monde du travail. Le premier emploi stable est aux alentours de 27 ans en moyenne. Donc 27 + 40 = 67 ans. Donc soit on part à 67 ans, soit (ce qui est plus vraisemblable compte-tenu de la fatigue évidente passée 60 ans) on part à 60 ans et le montant de la retraite est largement amputé. Donc cette réforme est faite pour réduire l'argent touché pendant la retraite. Comptabiliser les années d'études permettrait de ne pas pénaliser ceux qui rentrent tard sur le marché du travail. Ainsi, ils pourraient également partir à 60 ans avec une retraite suffisante pour vivre dignement. Pour répondre à ta remarque sur l'illogique du système, on peut proposer une cotisation symbolique pendant la période des études. Et je rappelle que l'UNEF demande une allocation autonomie pour les étudiants, sorte de salaire étudiant qui permettrait cette cotisation.
Les emplois ne tombent pas du ciel mais une politique d'emploi peut et doit être menée par le gouvernement. Que fait-il pour s'opposer aux délocalisations ? Pourquoi en cette période de crise ne lance-t-il pas une politique de grands travaux (relance keynesienne) ? Il faut arrêter les suppressions de postes dans la fonction publique car outre la dégradation des services rendus aux usagers, celà conduit à du chomage donc à une augmentation des dépenses de la branche travail de la Sécurité Sociale et à une baisse des rentrées d'argent dans les caisses de l'Etat sous forme de cotisations.
Pour résoudre le problème des retraites on peut proposer de taxer les profits. Le rapport entre le capital et le travail a considérablement été modifié ces dernières années au profit du permier : les dividendes ont explosées, passant de 3,2 % du PIB en 1982 à 8,5 % en 2007. Pourquoi ne pas rééquilibrer ce rapport ?
Une autre solution consiste à arrêter les suppressions de cotisations des employeurs ; cela rapporterait 30 milliards d'euros par an à l'Etat. Il faut 10 milliards par an pour maintenir le système actuel de retraite...
Boris Chaumette- Dis-donc, tu viens plus aux soirées !
- Messages : 195
Age : 40 172 11
Localisation : Rouen
Campus :- Martainville,
Inscription : 27/11/2008
Re: UNEF, le syndicat étudiant
ce qui choque dans le fait que la fonction publique distille moins que dans le privé ? Bah ... à diplôme égal, salaire anémié peut-être ? (voir pas de salaire, ça n'arrive pas qu'en Grèce, j'en sais quelque chose)
et les étudiants ne cotisent pas pendant leurs études ? Bah encore une fois ... pas d'accord m'zelle! Y en a qui bossent et cotisent (et payent même des impôts sur leurs salaires de misère (quand ils les touchent, -re-)). Il est vrai que certains n'ont pas besoin de travailler, les parents sont parfois d'excellents sponsors (ou pas ^^),sinon, il y a encore les gentils prêts étudiants ou comment commencer sa vie avec un créd sur le dos! Mais celà ne me rend pas fou de la solution étudiant-payé pour aller en cours ...
Non, le coeur du problème est éternellement le même, peu de taxation des entreprises, et toujours la même solution, la taxation des salariés, la compétitivité de notre cher CAC40 en dépend, et vous savez, il faut soutenir la croissance ... Bah non, je savais pas !
et les étudiants ne cotisent pas pendant leurs études ? Bah encore une fois ... pas d'accord m'zelle! Y en a qui bossent et cotisent (et payent même des impôts sur leurs salaires de misère (quand ils les touchent, -re-)). Il est vrai que certains n'ont pas besoin de travailler, les parents sont parfois d'excellents sponsors (ou pas ^^),sinon, il y a encore les gentils prêts étudiants ou comment commencer sa vie avec un créd sur le dos! Mais celà ne me rend pas fou de la solution étudiant-payé pour aller en cours ...
Non, le coeur du problème est éternellement le même, peu de taxation des entreprises, et toujours la même solution, la taxation des salariés, la compétitivité de notre cher CAC40 en dépend, et vous savez, il faut soutenir la croissance ... Bah non, je savais pas !
plassben- Iguane dans la forêt
- Messages : 1589
Age : 42 1745 250
Localisation : La Picardie des V.I.P
Campus :- ...
Année : moins de 30
Emploi : Chasseur de missions
fac here/Sonanbul/SHA/ACCER
Inscription : 08/01/2008
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Au point où nous en sommes au niveau économique de toute façon, c'est se battre contre des moulins à vents. On ne contrôle plus le sytème, on ne peut plus que suivre le mouvement. Moi aussi j'aimerai me barrer avec une retraite à 100% dès 60 ans, mais clairement ce ne sera jamais le cas. Nous sommes la génération sacrifiée, tous les économistes avaient prévus ça il y a déjà 20ans en voyant la baisse de la natalité des pays riches. Seulement les gouvernements ont toujours repoussé l'échéance et là c'est nous qui allons payer la note.
Une évolution n'est pas toujours positive et malheureusement le système ne va pas être tiré vers le haut ce coup-ci, l'Etat est obligé de faire passer ces mesures pour pouvoir continuer à emprunter. C'est bien beau de vouloir augmenter les taxes sur les entreprises mais c'est ouvrir les portes à tous les fonds d'investissements & Co qui vont chercher à se faire du gras sur les entreprises qui se trouveront affaiblies par ces mesures.
Tout le monde le sait qu'il faut changer notre système, mais pesonne ne veut avoir à le faire car c'est se griller politiquement pour quelques années.
Une évolution n'est pas toujours positive et malheureusement le système ne va pas être tiré vers le haut ce coup-ci, l'Etat est obligé de faire passer ces mesures pour pouvoir continuer à emprunter. C'est bien beau de vouloir augmenter les taxes sur les entreprises mais c'est ouvrir les portes à tous les fonds d'investissements & Co qui vont chercher à se faire du gras sur les entreprises qui se trouveront affaiblies par ces mesures.
Tout le monde le sait qu'il faut changer notre système, mais pesonne ne veut avoir à le faire car c'est se griller politiquement pour quelques années.
FatNoZ- La BU me connait bien
- Messages : 149
Age : 41 218 63
Localisation : Balamb Garden University
Cursus : Doctorat Biologie, Santé, Sieste...
Inscription : 02/07/2009
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Vive le fatalisme FatNoz !
Heureusement qu'il y a encore des gens qui se lèvent le matin déterminés à ne pas se laisser faire sinon il y a belle lurette qu'on aurait plus aucun acquis social en France !
Heureusement qu'il y a encore des gens qui se lèvent le matin déterminés à ne pas se laisser faire sinon il y a belle lurette qu'on aurait plus aucun acquis social en France !
Boris Chaumette- Dis-donc, tu viens plus aux soirées !
- Messages : 195
Age : 40 172 11
Localisation : Rouen
Campus :- Martainville,
Inscription : 27/11/2008
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Il n'y a pas que du fatalisme dans ce que je dis. Au moins j'ai la franchise de dire ce que je pense pas comme une partie de nos représentants qui se voient bien heureux de ne pas avoir à faire passer ces réformes.
Les aquis sociaux c'est bien, moi aussi je suis content d'être pris en charge quand je suis malade ou pouvoir aller glander à la plage l'été, maintenant il y a un équilibre à maintenir. Les solutions proposées pour maintenir le cadre actuel ça pourrait tenir si ça se jouait à l'échelle nationale, mais ce n'est plus comme ça depuis un bon moment.
Les aquis sociaux c'est bien, moi aussi je suis content d'être pris en charge quand je suis malade ou pouvoir aller glander à la plage l'été, maintenant il y a un équilibre à maintenir. Les solutions proposées pour maintenir le cadre actuel ça pourrait tenir si ça se jouait à l'échelle nationale, mais ce n'est plus comme ça depuis un bon moment.
FatNoZ- La BU me connait bien
- Messages : 149
Age : 41 218 63
Localisation : Balamb Garden University
Cursus : Doctorat Biologie, Santé, Sieste...
Inscription : 02/07/2009
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Demain à 14h se tiendra le Conseil d'Administration de l'Université de Rouen qui devra voter l'application des RCE (Responsabilites et Competences Elargies) qui sont contenues dans les articles 18 et 19 de la loi LRU. Cette loi votée durant l'été 2007 avait provoqué un important mouvement de grève dans les Universités ainsi que l'opposition quasi unanime de la communauté universitaire.
Alors que rien ne presse, le président de l'Université veut faire voter ce passage aux RCE avant l'été. Si le vote était positif demain lors du CA alors notre Université entrerait de plein pied dans l'autonomie budgétaire. Ce serait un très mauvais signal adressé car cela signifierait que la communauté universitaire accepte d'appliquer de manière anticipée la LRU. De manière pratique, un vote positif sur les RCE conduira l'université a gerer elle-même sa masse salariale c'est-a-dire les salaires des personnels.
L'UNEF reste opposée à la LRU et votera donc contre demain au CA. Elle appelle également à un rassemblement à 13h45 devant le CA (bâtiment de la formation continue, derrière la Fac de psycho le long de la voie teor) pour montrer l'opposition de la communauté universitaire à la LRU. Le résultat du vote dependra aussi de la mobilisation des étudiants et des personnels car certains élus seront amenés a reconsidérer leur vote si nous sommes nombreux a exprimer notre refus de cette application de la LRU demain.
Alors que rien ne presse, le président de l'Université veut faire voter ce passage aux RCE avant l'été. Si le vote était positif demain lors du CA alors notre Université entrerait de plein pied dans l'autonomie budgétaire. Ce serait un très mauvais signal adressé car cela signifierait que la communauté universitaire accepte d'appliquer de manière anticipée la LRU. De manière pratique, un vote positif sur les RCE conduira l'université a gerer elle-même sa masse salariale c'est-a-dire les salaires des personnels.
L'UNEF reste opposée à la LRU et votera donc contre demain au CA. Elle appelle également à un rassemblement à 13h45 devant le CA (bâtiment de la formation continue, derrière la Fac de psycho le long de la voie teor) pour montrer l'opposition de la communauté universitaire à la LRU. Le résultat du vote dependra aussi de la mobilisation des étudiants et des personnels car certains élus seront amenés a reconsidérer leur vote si nous sommes nombreux a exprimer notre refus de cette application de la LRU demain.
Boris Chaumette- Dis-donc, tu viens plus aux soirées !
- Messages : 195
Age : 40 172 11
Localisation : Rouen
Campus :- Martainville,
Inscription : 27/11/2008
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Et pendant ce temps, au Conseil de Gestion de l'UFR Pasteur, pas d'Unef... Pas de Met ou de Fac Verte non plus d'ailleurs... Mais!! Mais!! Incroyable!! Les élus corpo sont là eux et... Mais que font-ils?? Ils défendent les étudiants!!
Sacré Boris ^^
Sacré Boris ^^
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Moi je ne suis pas d'accord.........
Déjà quand j'entends qu'on ne "taxe pas assez les entreprises".. arretez deus minutes. La France est réputée pour etre un enfer fiscal. Les entrepreneurs n'y investissent plus, ou trés peu. On est dans une ornière économique.
Jvais faire mon gro lourd: je pense que si vous voulez une chance de mettre encore un peu de beurre sur vos haricots, va falloir remettre la France au boulot à coups de pieds au cul. Dans ce pays, on ne parle que de droits: mais de devoirs?
Donc d'un coté un gouvernement tiède, incapable, inepte, qui se retrouve dans un merdier que la classe politique (socialos ou droiteux) ont provoqués depuis des décénies, de l'autre, les petits syndicalistes frileux qui ne veulent surtout pas qu'on touche à leurs petits aventages.
déjà qu'ils gueulent our çà, je me demande ce que çà va etre quand la situation va s'empirer (car elle ne fera que çà, pour des dizaines de raisons).
Moi j'men fout, j'ai fait des stocks de ravioli en boite, et je taffe partout ou je peux.
Mais je vois venir l'anarchie quand:
-la dette publique va etre rattrapée par ses interets
-les caisses de l'Etat, qui n'empruntent déjà plus, seront vides
-les derniers politicars auront plié bagages avec ce qu'ils auront pu prendre du magot
-le rationnement alimentaire, les prix plafonds vont décoller
-les imports, qui surpassent déjà les éxports, vont s'éffondrer car hors de prix
-la barre de la population va passer la barre des 70 millions (immigration, fertilité des migrants, effet d'inertie).
Va yen avoir pour toute les sauces.
Les écolos vont gueuler parcequ'on rasera les campagnes pour construire des lotissements et HLM (c'est déjà le cas). LEs chomeurs vont gueuler car ils ne toucheront plus rien. quand je dis rien c'est RIEN. Les vieux vont gueuler. Les immigrés vont gueuler. Les RMistes vont gueuler. Le contribuable gueulera car il n'aura plus rien à bouffer (il avait qu'à se révolter avant ce con).
Bref on va avoir un beau concert. La France est en voie de tiers mondisation, certains éxperts la comparent déjà socialement au Brézil. C'est beau la décadence.
Déjà quand j'entends qu'on ne "taxe pas assez les entreprises".. arretez deus minutes. La France est réputée pour etre un enfer fiscal. Les entrepreneurs n'y investissent plus, ou trés peu. On est dans une ornière économique.
Jvais faire mon gro lourd: je pense que si vous voulez une chance de mettre encore un peu de beurre sur vos haricots, va falloir remettre la France au boulot à coups de pieds au cul. Dans ce pays, on ne parle que de droits: mais de devoirs?
Donc d'un coté un gouvernement tiède, incapable, inepte, qui se retrouve dans un merdier que la classe politique (socialos ou droiteux) ont provoqués depuis des décénies, de l'autre, les petits syndicalistes frileux qui ne veulent surtout pas qu'on touche à leurs petits aventages.
déjà qu'ils gueulent our çà, je me demande ce que çà va etre quand la situation va s'empirer (car elle ne fera que çà, pour des dizaines de raisons).
Moi j'men fout, j'ai fait des stocks de ravioli en boite, et je taffe partout ou je peux.
Mais je vois venir l'anarchie quand:
-la dette publique va etre rattrapée par ses interets
-les caisses de l'Etat, qui n'empruntent déjà plus, seront vides
-les derniers politicars auront plié bagages avec ce qu'ils auront pu prendre du magot
-le rationnement alimentaire, les prix plafonds vont décoller
-les imports, qui surpassent déjà les éxports, vont s'éffondrer car hors de prix
-la barre de la population va passer la barre des 70 millions (immigration, fertilité des migrants, effet d'inertie).
Va yen avoir pour toute les sauces.
Les écolos vont gueuler parcequ'on rasera les campagnes pour construire des lotissements et HLM (c'est déjà le cas). LEs chomeurs vont gueuler car ils ne toucheront plus rien. quand je dis rien c'est RIEN. Les vieux vont gueuler. Les immigrés vont gueuler. Les RMistes vont gueuler. Le contribuable gueulera car il n'aura plus rien à bouffer (il avait qu'à se révolter avant ce con).
Bref on va avoir un beau concert. La France est en voie de tiers mondisation, certains éxperts la comparent déjà socialement au Brézil. C'est beau la décadence.
Re: UNEF, le syndicat étudiant
On n'est pas certain que ça va péter. J'entends beaucoup d'anti-Sarko crier à la révolution sur Facebook mais qu'ils se sortent déjà les doigts du cul et qu'ils fassent la révolution en vrai, on verra ensuite. Internet est un narcotique : les mecs croient qu'il suffit de gueuler sur Sarko sur un site communautaire ou un forum pour que ça bouge.
Quelques chiffres : il y avait y a quelques mois un groupe Facebook du genre "Tous dans la rue pour le NO SARKOZY DAY". Ils étaient au moins 500 000 dans le groupe. A l'arrivée ça a fait 'pfuit' : ils étaient 1500 à Paris, 400 à Marseille, 50 à Bordeaux et 15 au Mans...
Cela étant dit, tant que la France ne pourra pas s'emprunter de l'argent à elle-même à taux zéro (on ne peut plus depuis 1973), on courra toujours après les intérêts. Je signale quand même que la grosse partie de la dette vient des intérêts car la France rembourse toujours.
Bonne idée de remplir ses placards de conserves, j'y avais pas pensé. Par contre, faudrait que tu diversifies un peu Pense aux haricots...
La France est le pays qui a la fiscalité la plus lourde au monde (notamment pour les entreprises). Mais ça fait rien, continuons ! Taxons ! On va délocaliser de plus en plus, il y aura moins d'emplois, plus d'assistés, plus de retraités, de pré-retraités et on va taxer le reliquat de la population active jusqu'à la mort pour que ça tienne le plus longtemps possible.
D'ailleurs, une agence de notation a commencé à baisser la note de la France. Nous sommes partis pour un scénario à la Grecque avec une rigueur (une vraie cette fois, parce que jusqu'à maintenant c'est de la gnognotte) : les fonctionnaires vont manifester parce qu'on va leur supprimer leur 17e mois, deux ou trois connards vont briser quelques vitrines, des syndicalistes arriérés vont appeler à des rassemblements tous les jours, et Sarkozy fera le 20h tous les soirs pour nous expliquer que c'est fini l'Etat providence, Cohn-bendit prendra la parole du parlement européen pour nous dire qu'il faut construire 400.000 éoliennes et raser les centrales nucléaires, bref... On va se marrer !
Quelques chiffres : il y avait y a quelques mois un groupe Facebook du genre "Tous dans la rue pour le NO SARKOZY DAY". Ils étaient au moins 500 000 dans le groupe. A l'arrivée ça a fait 'pfuit' : ils étaient 1500 à Paris, 400 à Marseille, 50 à Bordeaux et 15 au Mans...
Cela étant dit, tant que la France ne pourra pas s'emprunter de l'argent à elle-même à taux zéro (on ne peut plus depuis 1973), on courra toujours après les intérêts. Je signale quand même que la grosse partie de la dette vient des intérêts car la France rembourse toujours.
Bonne idée de remplir ses placards de conserves, j'y avais pas pensé. Par contre, faudrait que tu diversifies un peu Pense aux haricots...
La France est le pays qui a la fiscalité la plus lourde au monde (notamment pour les entreprises). Mais ça fait rien, continuons ! Taxons ! On va délocaliser de plus en plus, il y aura moins d'emplois, plus d'assistés, plus de retraités, de pré-retraités et on va taxer le reliquat de la population active jusqu'à la mort pour que ça tienne le plus longtemps possible.
D'ailleurs, une agence de notation a commencé à baisser la note de la France. Nous sommes partis pour un scénario à la Grecque avec une rigueur (une vraie cette fois, parce que jusqu'à maintenant c'est de la gnognotte) : les fonctionnaires vont manifester parce qu'on va leur supprimer leur 17e mois, deux ou trois connards vont briser quelques vitrines, des syndicalistes arriérés vont appeler à des rassemblements tous les jours, et Sarkozy fera le 20h tous les soirs pour nous expliquer que c'est fini l'Etat providence, Cohn-bendit prendra la parole du parlement européen pour nous dire qu'il faut construire 400.000 éoliennes et raser les centrales nucléaires, bref... On va se marrer !
Shishi- Premiers TD
- Messages : 35
86 34
Cursus : Licence
Inscription : 07/05/2009
Re: UNEF, le syndicat étudiant
Shishi a écrit:La France est le pays qui a la fiscalité la plus lourde au monde (notamment pour les entreprises). Mais ça fait rien, continuons ! Taxons ! On va délocaliser de plus en plus, il y aura moins d'emplois, plus d'assistés, plus de retraités, de pré-retraités et on va taxer le reliquat de la population active jusqu'à la mort pour que ça tienne le plus longtemps possible.
En chiffres ça donne quoi ? Je suis curieux de la réponse je n'avais jamais pensé à ça...
Re: UNEF, le syndicat étudiant
En France, les impôts représentent 45% du PIB, c'est 10 points de plus que la moyenne des pays de l'OCDE.
C'est cela qui m'amuse quand on me dit que Sarkozy est un ultralibéral Depuis son arrivée au pouvoir en 2007, la pression fiscale a encore augmenté d'un point, tsss... Dans cette histoire-là, le paquet fiscal n'a été qu'une goutte d'eau.
C'est cela qui m'amuse quand on me dit que Sarkozy est un ultralibéral Depuis son arrivée au pouvoir en 2007, la pression fiscale a encore augmenté d'un point, tsss... Dans cette histoire-là, le paquet fiscal n'a été qu'une goutte d'eau.
Shishi- Premiers TD
- Messages : 35
86 34
Cursus : Licence
Inscription : 07/05/2009
Re: UNEF, le syndicat étudiant
juste pour rappel shishi, la France est un des pays qui prélève le plus d'impôts, certes, mais c'est aussi un des pays qui dépense le plus dans des programmes sociaux. n'oubliez pas que les Etats n'ont pas encore le droit de créer des sous selon leur bon vouloir (enfin sauf les USA ), donc que dès lors qu'ils lancent un programme d'aide, bah faut passer à la caisse.
les français actuellement veulent que l'Etat dépense toujours plus pour eux, mais ils veulent également payer moins d'impôts....faut être logique des fois hein, moins de recettes => moins de dépenses, et les premières dépenses qui sautent ce sont les dépenses non essentielles, donc les dépenses sociales.
après si vous voulez qu'on retrouve une pression fiscale de l'ordre d'une trentaine de pour-cent du PIB, pourquoi pas, mais soyez prêts à abandonner quelques congés payés, une grosse partie de notre régime d'assurance maladie, les arrêts maternité, la retraite sécu (bah oui, aux USA par exemple si tu veux une retraite il faut payer un fond de pension, sinon tu as du mal à survivre), l'assurance chômage telle qu'on la connaît, etc.
les français actuellement veulent que l'Etat dépense toujours plus pour eux, mais ils veulent également payer moins d'impôts....faut être logique des fois hein, moins de recettes => moins de dépenses, et les premières dépenses qui sautent ce sont les dépenses non essentielles, donc les dépenses sociales.
après si vous voulez qu'on retrouve une pression fiscale de l'ordre d'une trentaine de pour-cent du PIB, pourquoi pas, mais soyez prêts à abandonner quelques congés payés, une grosse partie de notre régime d'assurance maladie, les arrêts maternité, la retraite sécu (bah oui, aux USA par exemple si tu veux une retraite il faut payer un fond de pension, sinon tu as du mal à survivre), l'assurance chômage telle qu'on la connaît, etc.
Wilhjelm- Je mange au RU
- Messages : 114
Age : 35 229 70
Localisation : Rouen
Cursus : droit (public)
corporation des étudiants en droit économie et gestion
Inscription : 24/09/2008
Page 12 sur 13 • 1, 2, 3 ... , 11, 12, 13
Sujets similaires
» PRES Normand - Normandie Université
» Mouvement des enseignants chercheurs et des étudiants
» GG l'étudiant
» Offres de job étudiant rouen et agglo ICI (offres d'emploi)
» Vos bons plans de Jobs étudiants
» Mouvement des enseignants chercheurs et des étudiants
» GG l'étudiant
» Offres de job étudiant rouen et agglo ICI (offres d'emploi)
» Vos bons plans de Jobs étudiants
Fac-here, le forum de la fac de Rouen et des étudiants rouennais ! :: Assos étudiantes / International :: :: Les associations étudiantes
Page 12 sur 13
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum